tag:blogger.com,1999:blog-75078339964779664992024-03-13T11:16:44.515-04:00Cinéma CritiqueMa critique du cinéma des films et dvd, la musique et les livres partagée avec franchise pour vous permettre de vous faire une idée avant d'investir. Même si, parait-il les goûts ne se discutent pas, laissez moi au moins vous en parlez!vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.comBlogger51125tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-70591048400415839712010-04-11T10:13:00.010-04:002010-04-11T13:50:04.598-04:00Frères, 2009<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IJmyG1usI/AAAAAAAAAnc/bVH9UOw4rtQ/s1600/brothers.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5458936260216601282" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 211px; CURSOR: hand; HEIGHT: 278px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IJmyG1usI/AAAAAAAAAnc/bVH9UOw4rtQ/s320/brothers.jpg" border="0" /></a><br /><div><div><div><div><div>Je commençais à désespérer de me faire brasser et toucher par un film, enfin le réalisateur Jim Sheridan y est parvenu avec ce sensible et sobre ''Frères''. Une brochette de talents déjà solidement avérés, avec des noms comme Gyllenhaal, Portman et Maguire, présageait d'une belle complicité et de solides performances. Si le sujet à déjà, maintes fois, été évoqué par le cinéma américain, une autre incursion dans l'enfer de la guerre et ses effets dévastateurs sur les soldats est toujours nécessaire. Seul bémol en vue, il s'agit d'une relecture d'un film Danois, une manie que je déplore chez les américains de s'approprier les oeuvres pertinentes des autres pour les réadapter à la sauce nord américaine. Comme je n'ai pas vue cette version danoise, j'en ferai abstraction et je donnerai le bénéfice du doute à l'adaptation de Sheridan.<br /><div></div><br /><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5458936605698140626" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IJ65IDqdI/AAAAAAAAAnk/IU2tRCjqq8Q/s320/19222945_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100111_044000.jpg" border="0" /> ''Frères'' nous raconte la réalité d'une famille américaine dont le père le capitaine Sam Cahill part en mission en Afghanistan, laissant derrière lui sa femme Grace et ses filles Isabelle et Maggie. Toutes trois souffrent de l'absence de l'homme de la maison et attendent avec impatience son retour. Un jour, des soldats viennent annoncer à Grace la mort de son mari. Malgré sa tristesse, elle tente de poursuivre une vie normale, appuyée par le frère de son époux, Tommy. Sam a par contre survécu à l'écrasement de son hélicoptère et est récupéré par des troupes ennemies en plein désert. Pendant qu'il subit d'inimaginables souffrances, sa femme s'attache de plus en plus à Tommy et reprend un rythme de vie plus équilibré. Mais tout bascule lorsqu'on lui apprend que Sam est vivant et qu'il revient à la maison. Heureuse de revoir son mari, elle comprend rapidement que la guerre l'a changé; il est maintenant plus agressif et suscite la peur chez sa famille.<br /><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5458936785435586418" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 267px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IKFWszb3I/AAAAAAAAAns/Qkabli3QrqU/s400/19201124_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20091118_044941.jpg" border="0" /><br /><div>La guerre est tellement encrée dans le paysages américains et depuis tellement longtemps que ce type de films, bien que récurrents, sur le sujet douloureux de la guerre, deviennent nécessaires pour exorciser un mal qui ronge une nation entière et saigne sa jeunesse. Il n'y a qu'à faire un tour de l'autre côté de la frontière pour comprendre à quel point les américains sont patriotiques et appuient leur effort de guerre. Partout, ce n'est que messages d'encouragement aux ''G.I'', drapeaux américains qui flottent, messes en l'honneur des morts au front, etc... L'Afghanistan est un combat qui les dépassent, un combat perdu d'avance qui ne fait que coûter la vie à des jeunes gens, qui pensent défendre leur patrie en portant la guerre dans des contrées lointaines qui vivent dans une réalité qui n'est pas la leur. Ils reviennent comme des zombies rongés par les images d'horreur qui se sont sournoisement imprégnées dans leur subconscient et ce n'est que par le biais de la thérapie et d'un suivi qu'ils réussiront, peut-être, à s'en sortir. Malheureusement, et c'est le cas du capitaine Sam Cahill ( Tobey Maguire), le choc sera trop grand et le retour difficile. Brutal, sera aussi l'impact sur sa famille , qui s'était acclimatée, tant bien que mal, à la perte du père et du mari et avait réussi à retrouver une certaine forme de stabilité grâce à la présence réconfortante du frère de Sam, Tommy ( Jack Gyllenhaal). Les rôles se sont, en quelque sorte, entremêlés pour ces deux frères. Tommy étant le rejet social, source de honte pour un père puritain et dur, et Sam, l'enfant prodigue, qui marche dans les pas du père, lui-même ex-militaire, qui va défendre la juste cause en Afghanistan, un héros modèle. Tommy, pensant son frère mort, décide enfin de prendre ses responsabilités et devient un pilier pour Grace ( Natalie Portman) et ses deux filles qui en viennent à l'aimer comme un père. Tandis que Sam, qui a subi les pires sévices mentaux et physiques aux mains des Talibans, revient du front en perte de repères avec une immense détresse psychologique. Il n'est plus le père aimant pour ses filles et le mari attentionné pour sa femme. Une confrontation est imminente, et elle sera dévastatrice pour sa famille et son frère, qu'il accuse d'avoir pris sa place. Rarement au cinéma, on aura assisté à un drame humain aussi sobre et près de la réalité; des émotions à fleur de peau qui donnent la chair de poule. Ces hommes durs et soucieux des apparences qui se laissent aller à des émotions fragiles et une sensibilité toute humaine. Un retournement de situation où la figure de héros tout puissant perd ses repères et sombre dans la déchéance, et l'autre, une loque humaine, profite malgré lui de cette absence circonstancielle, pour s'affirmer et se découvrir des aptitudes au contact de ces 3 femmes dans le besoin.</div><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5458937083286286306" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 266px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IKWsR8b-I/AAAAAAAAAn0/zEH8gmhGUQ4/s400/19222943_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100111_043959.jpg" border="0" /> Ce film repose évidement sur la qualité de ses acteurs qui remplissent la tâche avec finesse et passion. Tobey Maguire nous montre qu'il sait faire autre chose que jouer les super-héros. Sa métamorphose sera progressive et totale. De bon père de famille responsable et héros de guerre irréprochable, il ira choir à l'autre extrême, dégringolant les échelons progressivement, jusqu'au ''bad trip'' final. Il perd sa contenance et son aplomb tant les souffrances inhumaines qui lui sont imposées par ses geôliers Talibans heurtent sa force d'âme et son corps. Il reviendra métamorphosé d'une guerre qui n'est plus la sienne, avec un corps émacié, des yeux hagards et une sourde rage qui ne demande qu'à exploser. Tout le contraire de son frère, interprété par l'excellent Jack Gyllenhaal, qui représente avec Maguire la nouvelle garde du cinéma américain. Une solide performance, toute en retenue, où seuls les yeux témoignent des bouleversements intérieurs. Natalie Portman joue une mère digne qui doit garder contenance et s'occuper de ses deux jeunes filles, elle est bouleversante d'authenticité. Ici, aucun mélodrame en vue, juste des émotions vraies et normales, comme souvent, en de telles circonstances, le deuil peu prendre du temps à s'installer, passé le choc initial. Une mention spéciale aux deux jeunes actrices: Bailee Madison et Taylor Geare, à qui on a donné des mots d'enfants et des personnalités enfantines normales, ce qui ajoute crédibilité aux dialogues et qui a permis une scène mémorable, où les fillettes confrontent leur père.<br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5458937306717374370" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 266px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IKjsoER6I/AAAAAAAAAn8/Ri3BweUm_YM/s400/brothers-photo-1.jpg" border="0" /><br /><div>Malgré de nombreux films sur les atrocités de la guerre, dont les extraordinaires: ''Deer Hunter'', ''Platoon'' et peut être aussi ''Dans la vallée d'Elah'', on constate que les mentalités ne changent pas vite et que les États-Unis hébergent un peuple guerrier, fier de cette tradition militaire. Des jeunes soldats, mal préparés et endoctrinés, partent semer la mort dans des conflits qu'ils ne comprennent pas, pensant agir pour le bien de leur pays qui n'est aucunement menacé par les peuplades aux moeurs ancestrales d'Afghanistan ou d'Irak. Ce film fera peut-être réagir, et souhaitons que des instances soient mises en place pour le ''débriefing'' des hommes et femmes qui reviennent heurtés et incomplets d'une guerre inutile.</div><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5458937589559556066" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 266px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S8IK0KS5d-I/AAAAAAAAAoE/5fasn6pLY4w/s400/19222938_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100111_043958.jpg" border="0" /><br /><div>Cinéma Critique donne un Excellent: <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">8/10</span></div></div></div></div></div></div><br /><object height="385" width="640"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/rLlpabVRnyc&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/rLlpabVRnyc&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="640" height="385"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com6tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-88661608252240721892010-04-05T07:14:00.015-04:002010-04-05T11:53:41.241-04:00Clones, 2009<div><div><div><div><div><div><div><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oEVm5SEgI/AAAAAAAAAmU/YZff0s7Ncik/s1600/Clones-The-Surrogates-Affiche-Teaser.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456678667777348098" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 141px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oEVm5SEgI/AAAAAAAAAmU/YZff0s7Ncik/s200/Clones-The-Surrogates-Affiche-Teaser.jpg" border="0" /></a> Nous voici devant un film de ''fast-food'' cinématographique comme Hollywood les aime : rapide, simplet et payant. Une autre histoire d'avatar de l'homme, cet être humain qui semble se diriger, à toute allure, vers un futur où vivre sa propre vie, en chair et en os, devient obsolète. Le grand écrivain de science-fiction, Isaac Asimov, décrivait déjà ce mode de vie agoraphobe, dans les années 50, avec son excellente saga: ''le cycle des Robots'', qui a inspirée ''I, robot'' (2003), d'Alex Proyas. À l'instar du film de Proyas, ce ''Clones'' de Jonathan Mostow ( terminator 3 ), met en scène des robots, guidés à distance par des humains et non des clones, doubles génétiques en tissus biologiques, le titre en anglais ''Surrogates'' est plus approprié.<br /><br /></div><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456679129741532642" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 412px; CURSOR: hand; HEIGHT: 232px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oEwf2IHeI/AAAAAAAAAmc/EFReIb78pIY/s200/surrogates1.jpg" border="0" /><br /><div>''Clones'' est un film de science-fiction, d'après les personnages de la bande-dessinée: ''The Surrogates'' créés par Robert Venditti et Brett Weldele. Dans un futur rapproché, les gens vivent leur vie à distance, dans la sécurité de leur foyer, grâce à des clones robotisés. Représentations idéalisées, réalistes ou fantaisistes d'eux-mêmes. C'est un monde idéal, en apparence, où la peur, la douleur, les activités criminelles et leurs conséquences n'existent pas. Quand le premier meurtre à survenir depuis plusieurs années vient ébranler la paix, l'agent Greer du FBI (Bruce Willis) découvre alors qu'une conspiration se cache derrière le phénomène du clonage et doit donc, au péril de sa vie, abandonner son propre clone afin d'élucider le mystère.<br /></div><br /><div><br /></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456679493175840210" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 214px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oFFpvnjdI/AAAAAAAAAmk/Xi-RSHaXp-A/s320/surrogates_photo_6.jpg" border="0" /> </div><br /><div>Le sujet est quand même d'actualité, à la vitesse inouïe avec laquelle progresse la technologie en ce 21ème siècle, il semble que les innovations tendent à isoler les êtres humains les uns des autres, tout en les rapprochant, plus que jamais, virtuellement. Je suis friand de science-fiction quand celle-ci reflète un avenir possible et crédible. Ce film, trop court (1h28), manque de développements, peu d'éclaircissements sur les clones robotiques, pas de survol planétaire; est-ce que le tiers-monde a les moyens de se payer ce genre d'innovation? Une réalité unilatérale, qui montre uniquement, encore une fois, le mode de vie de la classe moyenne supérieure américaine d'un côté et les pauvres et crasseux contestataires dans leur ghetto, de l'autre. De nombreuses invraisemblances : le reste de la technologie humaine semble dépassée et figée; comme si elle n'avait pas suivi le même chemin évolutif que ces clones parfaits. Il n'est pas fait mention, non plus, du prix de telles unitées qui devraient être le lot exclusif des très bien nantis. De plus, quel serait donc l'intérêt de posséder un double s'il ne s'acquitte pas de la sale besogne et du travail à notre place? En effet, ces androïdes doivent être contrôlés en tout temps, ce qui ne laisse pas leurs propriétaires libres de faire ce qu'ils veulent! Le film oscille entre l'action et la lenteur mais pas une lenteur introspective du genre ''Blade Runner'', une lenteur ennuyeuse où un couple en perte de vitesse, tente d'éviter la douleur de la perte d'un enfant en se réfugiant dans cette technologie qui les éloignent de la prise de conscience et des remises en question. Une morale prévisible, qui n'émeu qu'à moitié, sur les dangers des dérives scientifiques, qui peuvent nous isoler de notre vraie nature. De toute façon, qui rêverait d'abandonner une merveille absolue comme le corps humain pour revêtir une enveloppe cybernétique, pâle copie de son modèle original? Infirmes et malades peut-être...? Si l'esthétisme du film est réussie et les effets spéciaux à la hauteur, cet univers de demain peine à convaincre de sa crédibilité. À travers une enquête qui ne lève pas et des scènes d'actions mollassonnes, le film de Jonathan Mostow se cherche une identité et nous, une raison de rester accroché.<br /><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456679844408987570" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 190px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oFaGMID7I/AAAAAAAAAms/xbZPajAvI-Q/s320/Surrogates_Mitchell_Willis_small-thumb-550x326-23011.jpg" border="0" /><br /><br /><br /><div><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oFl_c45HI/AAAAAAAAAm0/3X8zhTpcdbI/s1600/bruce-willis-surrogates.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456680048758678642" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 226px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oFl_c45HI/AAAAAAAAAm0/3X8zhTpcdbI/s320/bruce-willis-surrogates.jpg" border="0" /></a>Bruce Willis est décidément en perte de vitesse et ce film ne l'aidera pas à reprendre de l'altitude. Ce n'est pas les traits lisses et sans émotion de son double robotique qui nous le rendront plus attachant, ni son histoire d'amour pathétique avec sa femme. On aurait voulu des ''flashs-backs'' de sa vie passée qui auraient aidé à la compréhension de son drame conjugal; une mise en contexte et plus d'élaborations sur la perte de son fils. Le bon vieux Bruce: humain, banal et dur à cuire avec une répartie assassine, comme dans ''Die Hard'', nous aurait suffit. Sa femme Maggie (Rosamund Pike) , femme fatale idéalisée et épouse parfaite, grâce à son robot, elle vie coupée de ses émotions, dans un simulacre de réalité en compagnie d'autres clones qui semblent se complaire dans la luxure et l'inaction. Elle fuit sa vraie nature à l'aide de pilules et d'une immersion complète dans sa double vie. Interprétation correcte, qui, à cause du personnage, ne laisse pas grand place aux nuances et au talent de l'acteur. Il en va de même pour les autres : l'agent Peters( Radha Mitchell), le docteur Lionel Canter (James Cromwell) ou encore le chef des anti-clones, le prophète ( Ving Rhames), tous sans profondeur, mal dégrossis, des personnages secondaires sans saveur.</div><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456680369484521442" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 135px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oF4qP43-I/AAAAAAAAAm8/SR6fqa-ziJc/s320/0fcdf6249e94.jpg" border="0" /><br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456680503895990290" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 136px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oGAe-FIBI/AAAAAAAAAnE/TJ6L2vqOamU/s320/Mh2iKO0.jpg" border="0" /><br /><div>Jonathan Mostow, détenait une matière fascinante pour son film: les questions éthiques inhérentes aux réalités virtuelles, au clonage ou même à la robotique sont nombreuses et riches en débats sulfureux potentiels. Il se contente de livrer un produit moyen, expéditif et linéaire, sans rentrer dans les véritables enjeux qui l'auraient engagés dans un processus de réflexion sans doute trop exigeant et peu commercial. Bref, ''Clones'' est relégué au rang des ''séries b'',vite ingurgitées et digérées et aussitôt oubliées.<br /><br /></div><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5456681358883029106" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 240px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S7oGyQC4AHI/AAAAAAAAAnU/wllR-KhcLoY/s320/surrogates-movie.jpg" border="0" /> <div></div><br /><div>Cinéma Critique à longuement réfléchi et hésité entre passable et moyen: un <span style="font-size:180%;"><span style="color:#cc0000;">6</span><span style="color:#cc0000;">/10</span></span>, un peu sévère! </div></div></div></div></div></div></div><br /><object width="640" height="385"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/jwTJ7mCcFoY&hl=en_US&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/jwTJ7mCcFoY&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="640" height="385"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com8tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-56709617201386563212010-03-28T08:31:00.018-04:002010-03-28T12:39:58.785-04:00La Saga Twilight: Tentation 2009<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6913yqwNbI/AAAAAAAAAmM/RT3fK73RTPM/s1600/twilight-tentation.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453707275123307954" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 270px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6913yqwNbI/AAAAAAAAAmM/RT3fK73RTPM/s400/twilight-tentation.jpg" border="0" /></a><br /><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div>Il fallait passer par là, malheureusement, la série Twilight connaît un vif succès et quelques fois il faut crever l'abcès et connaître soi-même ce qui émoustille autant les adolescentes pré-pubères. Je m'étais presque pris au jeu du premier opus: une excellente trame sonore, des décors naturels somptueux( l'état de washington) et une histoire pas si mal qui ne tombait pas trop dans l'histoire d'amour mièvre. Le second volet n'a pas les charmes du premier et passé la première surprise, force est de constater que la qualité a chutée d'un cran.</div><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453702790590610018" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 216px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S69xywe1umI/AAAAAAAAAk8/X8eODaVjAaY/s320/twilight_saga__new_moon__2009_3229.jpg" border="0" /> </div><br /><div>Résumons l'histoire rapidement, pour ceux qui désirent néanmoins se plonger dans l'univers des livres de Stephenie Meyer, ''Success Story'' sans précédent, cette saga à fait vendre 18 millions de copies à présent. Bella Swan (Kristen Stewart) est démolie par le départ abrupt de son amoureux, le vampire Edward Cullen (Robert Pattinson), mais elle retrouvre une raison de vivre grâce à son amitié grandissante pour l'irrésistible Jacob Black (Taylor Lautner). Soudainement, elle est attirée par le monde des loups-garous, ennemis ancestraux des vampires, et donc voit sa loyauté mise à l'épreuve.<img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453703000973378690" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 157px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S69x_AOABII/AAAAAAAAAlE/akJhhG3iKsI/s320/twilight_tentation_haut.jpg" border="0" /><br /><p>Pour moi, le mot vampire évoque un passé trouble de l'Europe de l'est, à l'époque médiévale, dans des châteaux nichés sur des escarpements rocheux imprenables. Dans les forêt<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S69z1-f3NAI/AAAAAAAAAlU/tzqzOIqFl0c/s1600/ROM03_102-chateau-peles.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453705044915860482" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 162px; CURSOR: hand; HEIGHT: 130px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S69z1-f3NAI/AAAAAAAAAlU/tzqzOIqFl0c/s200/ROM03_102-chateau-peles.jpg" border="0" /></a>s sombres des Carpates en Roumanie ou en Transylvanie, où des tyrans sanguinaires comme Vlad Tepes <a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690BwSXOdI/AAAAAAAAAlc/4-05PlllqpA/s1600/Vlad_Tepes_002.jpg"></a>ou <a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690esgy3TI/AAAAAAAAAls/wpnc24M_KpI/s1600/18857500_w434_h_q80.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453705744462568754" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 134px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690esgy3TI/AAAAAAAAAls/wpnc24M_KpI/s200/18857500_w434_h_q80.jpg" border="0" /></a>Elizabeth Bathory étripaient et faissaient couler le sang à flot. J'ai été initié aux vampires à travers l'oeuvre grandiose de Bram Stoker et son fabuleux Dracula, porté à l'écran par Copolla. Plus récemment, la formidable saga d'Anne Rice: Chroniques des vampires, dont le premier tome immortalisé à l'écran par Tom Cruise et Brad Pitt, Entretien avec un vampire, restera la référence absolue du genre vampire romantique <a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690S82TzUI/AAAAAAAAAlk/aG86h4T0CAE/s1600/i_3793_entretien_avec_un_vampire_-05.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453705542689344834" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 138px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690S82TzUI/AAAAAAAAAlk/aG86h4T0CAE/s200/i_3793_entretien_avec_un_vampire_-05.jpg" border="0" /></a>jusqu'à ce moderne et disgracieux Twilight. Bon, j'ai établi mon camp, je fais parti de la veille garde, réfractaire à voir les vampires et autres loups-garous, infester les lycées et cueillir les jeunes filles vierges de leurs amourettes centenaires, ce qui en fait des pédophiles accomplis! Je comprend le procédé de dénuder les torses musclés des gamins loups-garous, pour créer l'émoi des jeunes filles, mais faudrait pas abuser du pain béni. Ces créatures de l'ombre, buveuses de sang, travestis en ''sex-symbol''? Pourquoi pas après tout, mais ça en fait un peu un film de filles. L'histoire d'amour et le triangle amoureux qui s'établit entre Jacob, Bella et Edward emplit l'écran et occulte trop vite la trame principale de l'histoire, la vengeance de la rousse Victoria et la rivalité entre loups-garous et vampires. Les rares scènes d'action: combats entre le clan Cullen ( vampires) et la meute de Sam ( loups-garous) et le face-à-face avec les Volturi, ancestrale et terrifiante famille de vampires qui règnent en quelque sorte sur ceux de leur race depuis Volterra, en Italie, rehaussent le film par des effets spéciaux de qualité et un peu d'action qui n'est pas de trop. Je ne peux pas juger de la qualité des livres qui ont au moins fait apprécier la lecture à des ados( c'est déjà ça!), mais cette adaptation cinématographique de Chris Weitz, s'adresse aux jeunes filles qui rêvent au prince charmant. C'est une idylle, bien impossible, car les gamins de 12 ans et des poussières ont autres chose, heureusement, en tête que de faire la cour à des gamines en pâmoison. Bella, cette cruelle manipulatrice, est un bien triste exemple pour la jeunesse, elle préfère son cadavre blafard et mollasson à cet énergique enfant-loup à la poitrine virile, bien plus apte à la défendre.</p><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453703271779029906" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S69yOxDGU5I/AAAAAAAAAlM/DovcnN78VRw/s320/twilight-chapitre-2-tentation-2009-17847-1908430346.jpg" border="0" /> Nous voici au coeur de l'épineux problème de ce grand classique des films romantiques: son jeu d'acteur. Minable est un bien grand mot et c'est mesquin pour tout le travail que ces jeunes acteurs ont du déployer pour rendre crédibles des personnages si grandioses. Bella, ce lamantin éperdu d'amour, se noie dans un océan de solitude depuis le départ de son vampire végétarien Edward. Certes, Kristen Stewart à des beaux yeux langoureux, sont-ils fait que pour luire d'un éclat terne et mélancolique? Edward, Robert Pattinson, cet être qui brille comme un diamant ''cheap'' semble possédé qu'un registre: la droiture, la fidélité et la chasteté du preux chevalier servant indéfectible et amoureux, ce qui le rend incommensurablement ennuyeux et prévisible. Jacob Black, Taylor Lautner, le sportif cool du lycée, musclé, mécanicien émérite, défiant et protecteur, il semble être un partit bien plus prometteur pour Bella qui doit choisir entre l'odeur de chien mouillé en rut, ou pas d'odeur du tout et jouer les cathéters vivants, choix déchirant, n'en douté point! Bon, il y a bien cet Aro, chef des Volturi, qui ressemble à Yves P. Pelletier de Rock et Belles Oreilles ou encore cette indécrottable Dakota Fanning qui a, finalement, décidée de vieillir, elle interprète Jane, membre d'une congrégation italienne dédiée à préserver le secret de l'existence des vampires. Ces deux-là rehaussent le jeu, un tantinet, par leurs courtes mais bien intenses présences.<br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690_btj1-I/AAAAAAAAAl8/FM3xj-iQtyI/s1600/twilight_saga__new_moon__2009_9095.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453706306888390626" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 208px; CURSOR: hand; HEIGHT: 155px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S690_btj1-I/AAAAAAAAAl8/FM3xj-iQtyI/s200/twilight_saga__new_moon__2009_9095.jpg" border="0" /></a><br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6903vl-AUI/AAAAAAAAAl0/jdoM9JewAwM/s1600/twilight_tentation_3.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453706174786306370" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 251px; CURSOR: hand; HEIGHT: 144px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6903vl-AUI/AAAAAAAAAl0/jdoM9JewAwM/s200/twilight_tentation_3.jpg" border="0" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><p></p><br /><p>C'est vrai que je ne suis pas le public cible de la saga Twilight, qui est peut-être une excellente série de roman, j'ai quand même le droit de me prononcer sur les qualités et défauts du film. Avant de me lapider sur la place public parce que je dénigre ce qui est intouchable et culte pour une génération d'ado, il faudrait comprendre que j'aime l'univers des vampires et je souffre de voir ce terreau fertile réduit à une banale histoire d'amour adolescente, dans un univers actuel peu crédible. Twilight n'est pas un flop total mais il ne redonne pas ses lettres de noblesse à l'univers fantastique des suceurs de sang.</p><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5453706637392380898" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 252px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S691Sq72g-I/AAAAAAAAAmE/iVpJf-SbCgs/s320/TWILIGHT-A-LOS-ANGELES_diaporama.jpg" border="0" /><br /><br /><p>Cinéma Critique, doit se résoudre à octroyer un maigre: <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">6/10</span></p><p><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/QMmGq7AZ7zc&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/QMmGq7AZ7zc&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object></p></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-20149181903441160772010-03-20T18:15:00.019-04:002010-03-21T13:21:00.440-04:00J'ai tué ma mère, 2009<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZA6_J3FNI/AAAAAAAAAjs/Z8T-9VSSZk8/s1600-h/Cover.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451115781107946706" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 249px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZA6_J3FNI/AAAAAAAAAjs/Z8T-9VSSZk8/s320/Cover.jpg" border="0" /></a> <div>J'en avais pas très envie mais après tout ce tapage médiatique et cette quincaillerie de trophées remportés, le film de Xavier Dolan s'est forcé un passage dans mon lecteur dvd. Ce petit gringalet au toupet improbable m'était, je dois le confesser, passablement antipathique. Je ne sais d'ailleurs guère pourquoi, trop de présences sur trop de tribunes à la fois? Il faut quand même admettre qu'un petit québécois d'à peine 19 printemps qui est primé à Cannes, ça pique la curiosité chez nous. Alors notre petit prodige mérite-t-il cette réputation ou est-ce grandement surévalué?</div><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451116230314037730" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 268px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZBVIk8EeI/AAAAAAAAAj0/-JwEeLAo4-M/s320/51019_5.jpg" border="0" /> <div>À 17 ans Hubert ( Xavier Dolan), un jeune homme sensible et perturbé, vie une relation trouble avec sa mère Chantale( Anne Dorval), qu'il se plaît à détester. C'est à travers un parcours initiatique qu'il découvrira l'amour( homosexuel), la drogue, le sexe et l'art. Ce petit incompris, en pleine crise d'adolescence , fait une fixation sur son nombril et sur son être, écorchant et méprisant pour la plèbe, qu'il juge trop inculte en général. Sa propre mère est sujette à ses sarcasmes, il la déteste intégralement: ses pulls ringards, sa décoration ''kitch'' et les miettes de pain qui se logent à la commissure de ses lèvres quand elle mange bruyamment. Il lui reproche tout et rien mais surtout de ne pas avoir d'écoute et d'être une mère indigne et manipulatrice. Hubert aspire néanmoins à retrouver l'amour pour cette femme qu'il aimait jadis et c'est à travers un parcours jalonné de souffrances et de tragédies qu'il renouera des liens ténus avec sa génitrice. </div><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451116533816467058" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 214px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZBmzNjnnI/AAAAAAAAAj8/okvQd73NoCg/s320/i_killed_my_mother__2009_5025.jpg" border="0" /><br /><div>Je m'attendais à être ému, chaviré et malmené par un chef-d'oeuvre sans précédent. Je ne suis qu'un petit critique amateur et je n'est pas la prétention de connaître grand-chose de l'histoire du cinéma. Cependant, quand je vois un film, je donne un avis personnel aucunement influencé par la tendance générale et plus souvent qu'autrement mon avis reflète celui de la majorité. Alors ne nous leurrons pas: ''J'ai tué ma mère'' est un petit film tourné avec talent et conviction, touchant et drôle par moment, contenant quelques maladresses et longueurs mais aucun coup de génie à l'horizon. Soit les bo<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZB6L923DI/AAAAAAAAAkE/jEtiNY-Zb-M/s1600-h/2009-05-18-214126_DSC_3380.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451116866879020082" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 195px; CURSOR: hand; HEIGHT: 144px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZB6L923DI/AAAAAAAAAkE/jEtiNY-Zb-M/s200/2009-05-18-214126_DSC_3380.jpg" border="0" /></a>nzes du festival de Cannes avait un quota de films québécois à encenser ou ils ont vu des seconds degrés et allusions que mon pauvre cerveau n'a pu identifier. Certes, Dolan connaît quelques techniques de caméra: des plans rapprochés, cadrages décentrés, ralentis et noir et blanc nous plongent dans l'intimité, voir même la promiscuité des personnages. L'union d'Hubert et sa mère provoque des tempêtes électriques et les prises de vues deviennent houleuses comme une mer en furie. Par contre, chez son amant Antonin ou lorsqu'il se réfugie au domicile de sa professeur, tout est bien cadré et zen par opposition, comme s'il avait trouvé un havre de paix. Quelques moments de pur bonheur: l'excellente scène de ''dripping''( technique de peinture) appuyée d'une musique électro-rock très agressive du groupe ''Vive la fête'', reste dans la tête, tant son imagerie est puissante. Des instants de ravissement: course dans les bois au ralentit, comme un songe, déclaration d'amour subjuguée par la prise de drogues et merveilleuses retrouvailles finales, parmi les oies, où l'enfant retrouve sa mère. Par contre, la préciosité d'Hubert, d'une sensibilité artistique exacerbée à outrance, qui ne jure que par la contre-culture et ses états d'âme digne d'une diva au b<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZCNXxE5FI/AAAAAAAAAkM/_pn_TD2mUvQ/s1600-h/51237_5.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451117196464153682" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 234px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZCNXxE5FI/AAAAAAAAAkM/_pn_TD2mUvQ/s320/51237_5.jpg" border="0" /></a>ord de l'implosion émotive, finissent par user les nerfs. On voudrait corriger ce sale petit maelström de frustration matricide qui hait et crache hargne et fiel sur tout ce qui n'est pas comme lui. Tout le monde y passe: les idiots congénitaux et ''rednecks'' de son école, sa mère sans intelligence émotive, apparemment, et une société pas assez bien pour ce petit prince du bon goût, qui dicte qui doit vivre ou mourir. Ses puissants et répétitifs coups de gueule et salves assassines, à l'encontre de sa pauvre mère, qui se réfugie dans son petit monde confortable, nous le rende vite insupportable et on comprend aisément que Chantale sa mère est du mal à communiquer avec cette bombe à retardement. On nous laisse sans explications sur les causes du drame, sinon que le père absent a cruellement manqué à Hubert, rien sur le passé de la mère et peu de mises en contexte. Les dialogues sont impressionnants et bien écrits, certains font sourire et font du bien, d'autres nous font détester Hubert encore plus. Le tout fait penser à un autoportrait de Xavier Dolan lui-même, qui avouons-le, ne c'est pas donné le bon rôle, rien pour nous tirer les larmes, ça c'est certain! Je trouve que le film bascule un peu trop vers le sujet de l'homosexualité qui a déjà une tribune plus que privilégiée au Québec, je n'est absolument rien contre les homosexuels mais d'assister à de longs ébats langoureux entre hommes crée un certain malaise. Que Hubert soit homosexuel, soit, est-ce qu'on peut respecter la trame principale, une mère et son fils, et pas trop dériver et s'égarer vers autre chose, la fameuse scène où il mange une raclée tombe comme un cheveux sur la soupe.</div><br /><br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZC6YFYBcI/AAAAAAAAAkc/Qodwa7pdOFc/s1600-h/j_ai_tue_ma_mere_2.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451117969643406786" style="WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZC6YFYBcI/AAAAAAAAAkc/Qodwa7pdOFc/s320/j_ai_tue_ma_mere_2.jpg" border="0" /></a> <a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZDNIyi6qI/AAAAAAAAAkk/3H6kB1EcpAQ/s1600-h/i_killed_my_mother__2009_9914.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451118291955411618" style="WIDTH: 300px; CURSOR: hand; HEIGHT: 209px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZDNIyi6qI/AAAAAAAAAkk/3H6kB1EcpAQ/s320/i_killed_my_mother__2009_9914.jpg" border="0" /></a><br /><div></div><br /><div>La force du film repose sur l'excellence, voir le génie, de ses acteurs. Anne Dorval est parfaite, comme d'habitude, en mère indigne ou injustement dénigrée. Ce petit bout de femme est d'un rare talent, pour faire rire c'est indéniable (Le coeur a ses raisons, Les parents) et maintenant pour émouvoir. Tout le monde se souviendra de son mémorable coup de gueule à l'encontre du directeur du pensionnat, véritable cri du coeur d'une mère exténuée, qui m'a fait battre des mains de plaisir! Ça fait du bien et ça évacue, telle une soupape, le méchant accumulé depuis le début du film. Les dialogues sont, force est de le reconnaître, excellents et savoureux, c'est un réel plaisir pervers que de voir cette mère monoparentale et son fils se déchirer dans des dialogues de sourds, d'une méchanceté gratuite et expiatoire. Quand à Dolan, il donne une réplique canon, c'est la force motrice du film, son axe central et son sujet absolu. Il passe par toute la gamme des émotions: tantôt triste et prostré, fou de rage, méchant et immonde, on ne peut lui reprocher grand chose sur ses prouesses d'acteur, si ce n'est son manque d'humour et d'autodérision. Le reste des acteurs, ces ''faire-valoir'' sans saveur, ont été évacués pour faire place à la mère et au fils. Julie, l'enseignante( Suzanne clément ), semble éprise de Hubert, elle lui témoigne attention et réconfort et lui offre même asile chez elle, risquant de perdre son emploi. Un petit rôle qui ne fait pas avancer grand chose. Le petit ami, Antonin(François Arnaud), plus beau que bon et son incrédible mère Patricia ( Hélène Rimbaud) , cette libertine débauchée, aux moeurs irréalistes, complètent un tableau d'acteurs satellites, plus accessoires au scénario que partie prenante.</div><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451117554505260194" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 267px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZCiNkunKI/AAAAAAAAAkU/ZS9XfH0xgc8/s400/j_ai_tue_ma_mere_3.jpg" border="0" /><br /><div>Xavier Dolan, né Dolan-Tadros en 1989 à Montréal, est le fils de Manuel Tadros( Omerta), il débute sa carrière très jeune, dans des publicités pour les pharmacies Jean-Coutu, tout d'abord, puis à la télévision et au cinéma. Il a notamment joué dans ''Martyrs'' de Pascal Laugier en 2007 ou dix ans avant dans ''J'en Suis'' de Claude Fournier. ''J'ai tué ma mère'' est son premier long-métrage et a été présenté à la Quinzaine des Réalisateurs lors du Festival de Cannes 2009. Il y gagne trois prix : le prix Art et Essai, le prix de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques( pour le scénario) et le prix Regards jeunes pour les longs métrages. Xavier a écrit le scénario de ''J'ai tué ma mère'' à 17 ans. Il a investi toutes ses économies dans la structure financière du film et recruté lui-même les comédiens. Je lui souhaite bien du succès dans le futur, car il semble très prometteur!<br /></div><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5451118575873083682" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 292px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S6ZDdqdyySI/AAAAAAAAAks/2J0V5auOCqw/s400/DSC_6137_Dolan3.jpg" border="0" /><br /><div>Cinéma Critique trouve que c'est un Bon film sans plus: <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">7/10</span></div><br /><div></div><div><br /><object height="340" width="560"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/tDa0CkKjfsk&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/tDa0CkKjfsk&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-78259776781884267502010-03-14T07:55:00.008-04:002010-03-14T14:06:20.548-04:00Alice au Pays des Merveilles, 2010<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50bIK9H-9I/AAAAAAAAAik/jJwc-zGa4xs/s1600-h/alice_in_wonderland_ver7.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448540951381801938" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 211px; CURSOR: hand; HEIGHT: 250px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50bIK9H-9I/AAAAAAAAAik/jJwc-zGa4xs/s320/alice_in_wonderland_ver7.jpg" border="0" /></a> Alice au Pays des Merveilles, enfin quelqu'un s'est décidé à dépoussiérer cette fable envoûtante qui à bercée ma jeunesse! Que ce soit à travers des livres de Charles Lutwidge Dodgson ( Lewis Carroll, son pseudo), ou du magnifique dessin animé d'animation nippo-allemand de 52 épisodes diffusé à radio-canada, le pays des merveilles a toujours été pour moi un sacré échappatoire. Malgré tout, un jour, il faut arrêter de faire l'autruche, la tête dans un terrier de lapin et affronter la dure réalité. Est-ce que le maestro Burton est parvenu à faire revivre toute la magie de cet univers de cinglé? En tout cas, il est venu bien près de faire un petit chef-d'oeuvre mais sa vision personnelle manque cruellement de champignons magiques!<br /><br /><div></div><div></div><div></div><div></div><br /><div><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50chGdU9zI/AAAAAAAAAjE/QO5ihpWfA5U/s1600-h/Alice_in_Wonderland.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448542479183050546" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 296px; CURSOR: hand; HEIGHT: 295px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50chGdU9zI/AAAAAAAAAjE/QO5ihpWfA5U/s320/Alice_in_Wonderland.jpg" border="0" /></a><br />Nous voici en face d'une adaptation libre, qui respecte l'imagerie des deux livres de Carroll soit: ''Alice au pays des merveilles'' et ''De l'autre côté du miroir'', parus vers 1865. Évidement, le conte a subit une légère cure de jeunesse, bien que pour l'époque ces livres étaient assez contestataires et osés, en ce sens qu'ils étaient dénonciateurs d'une Angleterre extrêmement rigide et puritaine. C'est l'une des histoires pour enfants les plus appréciées et lues de tout les temps. Maintenant âgée de 19 ans, Alice (Mia Wasikowska) retourne dans l'univers saugrenu du pays des merveilles, pays dont elle avait fait la découverte lorsqu'elle n'était encore qu'une fillette et retrouve ainsi ses amis d'enfance: le Lapin Blanc, Tweedledee et Tweedledum, le Loir, la Chenille, le Chat de Cheshire et bien entendu, le Chapelier Fou (Johnny Depp). Elle se lance alors dans une incroyable aventure à la recherche de sa véritable destinée et dans le but aussi de mettre fin, une fois pour toute, au règne de terreur de la Reine de Coeur. </div><div><br /></div><div></div><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50b-ApYyxI/AAAAAAAAAi8/neUJb8XyERc/s1600-h/free-internet-games-for-kids13.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448541876327598866" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 226px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50b-ApYyxI/AAAAAAAAAi8/neUJb8XyERc/s320/free-internet-games-for-kids13.jpg" border="0" /></a><br />Tim Burton est le pape gothique et macabre d'hollywood, son oeuvre est marquante et inoubliable, son génie est incontestable mais sied-il vraiment à un univers coloré et onirique qui est fait pour émerveiller et dérouter. C'est contestable, oui parce que cette histoire, sans queue ni tête, régit par la loi de l'absurde, convient parfaitement à la direction du réalisateur de ''Beetlejuice''. Il a un don pour inventer des personnages marginaux et complexes, il manie le fantastique et flirte avec l'horreur, sans jamais tombé dans l'outrancier et garde toujours une petite touche comique et cynique, qui sont devenue sa marque de commerce. Cependant, Alice est un conte pour enfants, grands et petits, qui doit susciter l'émerveillement et dépayser, maître burton, plus proche d'un Edgar Allan Poe que d'un Disney, nous dépeint un tableau dans des teintes sombres et un peu fades. ''Wonderland'' est devenu ''Underland'', et la petite Alice retrouve son monde imaginaire ravagé et désertique, comme après une guerre foudroyante, la magie et la beauté persiste mais on sent qu'un drame les a atténuées. Décidément, la 3d n'a pas fini de faire parler d'elle, depuis la folie ''Avatar'' le monde du divertissement a changé et le fait d'offrir un film avec ou sans la 3d, influence l'audimat. Cette fois-ci, laissez donc vos lunettes au vestiaire. Tim Burton n'a pas suivi les conseils du pédant monsieur Cameron, il en a fait qu'à sa tête et à tourné son film de façon conventionnelle, rajoutant les effets tridimensionnels par la suite. Le résultat e<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50dOYjP-GI/AAAAAAAAAjU/tX-beuPLoT0/s1600-h/alice-in-wonderland-2010-20090721105726439_640w.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448543257133840482" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50dOYjP-GI/AAAAAAAAAjU/tX-beuPLoT0/s320/alice-in-wonderland-2010-20090721105726439_640w.jpg" border="0" /></a>st peu concluant, dès les premières scènes du film, on a une impression de décors en carton, de personnages en surimpression sur un fond unidimensionnel. Certains effets cartonnent plus, comme le sympathique chat de Cheshire qui s'étire, disparaît et flotte littéralement sous nos yeux. Oublions le 3d et revenons à notre bon vieux cinéma bidimensionnel. Si l'esthétisme du film est presque impeccable, les effets d'ordinateur, eux, se font parfois un peut trop sentir. Depuis qu'on l'utilise, l'image de synthèse, meuble 80% de ce genre de films, comme si les décors naturels et les maquettes étaient d'une époque révolue. Malgré tout, avouons qu'aujourd'hui, grâce à cette technologie, on arrive à représenter des univers extraordinaires ce qui était impossible autrefois. On a qu'à penser au ''Seigneur des anneaux'' ou ''Harry Potter''. Le scénario, signé Linda Woolverton ( la Belle et la Bête, Mulan, le Roi Lion ), implique le concept de lutte du bien contre le mal, reine rouge( mal) reine blanche ( bien). Un idéal typipe aux oeuvres de Disney mais étrangé à l'univers de Carroll. Dans les romans, notre héroïne vit des aventures étranges et féeriques mais ne courent jamais de dangers physiques, ni n'a de quêtes linéaires à remplir, puisque ce monde n'a pas de lois ni de buts en soi. Cette adaptation dénature la création originale qui devient plus proche des ''Chroniques de Narnia'' où dès son arrivé au pays des merveilles, Alice se voit confier une quête urgente et doit triompher de la méchante reine de coeur. Serait-elle tombée dans le mauvais trou? On sent que Burton s'est censuré et semble se dégonfler pour respecter les standards de Walt Disney et plaire au grand public et aux jeunes enfants. Reste que c'est diablement divertissant et épique, même s'il manque une touche d'âme et de personnalité qui en aurait fait un chef-d'oeuvre.<br /><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50c7XzoJNI/AAAAAAAAAjM/46Bqb8zjOw4/s1600-h/alice-in-wonderland-2010-red-queen_0_0_0x0_440x595.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448542930516583634" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 237px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50c7XzoJNI/AAAAAAAAAjM/46Bqb8zjOw4/s320/alice-in-wonderland-2010-red-queen_0_0_0x0_440x595.jpg" border="0" /></a>Les acteurs se sont littéralement appropriés le film, on sent une implication personnelle hors du commun. Johnny Depp et Helena Bonham Carter ( épouse de Burton), respectivement en Chapelier fou et Reine de coeur, nous prouvent qu'ils étaient fans des romans de Lewis Carroll et c'est un vibrant hommage qu'il nous livrent par le biais de prestations décoiffantes. Mention spéciale à Bonham Carter, une reine de coeur absolument comique, redoutable et à la fois pathétique, aidée par un maquillage et des effets spéciaux habiles,ont lui à confectionné une tête énorme de circonstances. Johnny Depp donne dans la démesure, méconnaissable sous un déguisement qui rappelle Willy Wonka de ''Charlie et la chocolaterie'' ( de Burton). Ses grands yeux, l'un dilaté et l'autre non, qui font miroiter une folie manifeste, fou comme un chapelier disait-on autrefois. Ces deux personnages rendent justice au monde éclaté de ''Wonderland'', excentriques et attachants, leur folie est contagieuse. On ne peut pas en dire autant de la Reine Blanche ( Anne Hathaway ), fade et insipide comme sa tenue blanc immaculée. Alice (Mia Wasikowska) nous livre une prestation correcte mais son personnage semble rigide et sans profondeur, peu encline à rêver et rire, c'est une fonceuse, peu attachante. On remarquera le valet de coeur, interprété par Crispin Glover , juché sur des échasses, (son personnage à une physionomie pour le moins élancée) qui donne une excellente réplique à madame Burton. Tout le bestiaire, ou presque, il manque Humpty Dumpty, y passe: le Lapin Blanc ( pas assez exploité) , Tweedledee et Tweedledum (pas très drôle), le Loir (réussi), la Chenille( bâclée, pour un personnage si important!), le Chat de Cheshire (suave). Les interprétations sont très inégales et l'humour presque absent. J'ai trouvé le ton des voix bizarrement monocordes, sans intonations, toujours débité avec douceur et nonchalance, peut-être est-ce la version française?<br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448543465289412338" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 179px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50daf_Z7vI/AAAAAAAAAjc/H8M1DaDaoFM/s320/alice-in-wonderland-2010-20090828023502480_640w.jpg" border="0" /><br />Alice aux pays des merveilles est quand même un bon divertissement au visuel somptueux, bien que trop glauque par moment. Tim Burton signe encore une fois une oeuvre mémorable, on est loin de ses belles années qui ont vu naître les excellents ''Ed Wood'' et ''Edward aux mains d'argent'', mais son cinéma est au-dessus de la norme et reste rafraîchissant. Cet ''Alice aux Pays des Merveilles'', aurait pu être plus décapant et les dialogues plus tordus et jouissifs, malgré tout c'est la meilleure adaptation en date de l'oeuvre de Carroll.<br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5448543642531960578" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 239px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S50dk0RUlwI/AAAAAAAAAjk/AKU5SIYDXSs/s320/alice_in_wonderland_2010_407_medium.jpg" border="0" /><br />Tout de même excellent! Cinéma Critique lui donne un <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">8/10</span> mérité!<br /><br /><br /><object height="340" width="560"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/c4ais9sftFE&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/c4ais9sftFE&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-74847159110862148372010-03-07T08:21:00.013-05:002010-03-14T07:55:50.256-04:005150 rue des Ormes, 2009<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5PjSHd-7eI/AAAAAAAAAic/9aivMGwDCzk/s1600-h/5150_elm_s_way_8325.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5445946274803019234" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 276px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5PjSHd-7eI/AAAAAAAAAic/9aivMGwDCzk/s400/5150_elm_s_way_8325.jpg" border="0" /></a><br /><div><div>Bon, me voici encore devant un thriller aux relents horrifiques. Un style qui devient, j'en convient, peu à peu, ma marque de commerce. Je promets d'écouter autre chose que des films de suspense dans un avenir rapproché. D'autant plus que celui-ci, décevant, ne vivra pas longtemps dans ma mémoire. Pourtant, la curiosité de voir une adaptation d'un roman de Patrick Sénécal, porté à l'écran dans une production ''made in Québec'', m'emplissait d'espoir et d'optimisme. Surtout avec l'excellent Marc-André Grondin et l'inquiétant Normand D'Amour au casting, ça promettait d'être une sacré virée en enfer! </div><div><br /></div><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5445942906279027874" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 212px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5PgOCvR5KI/AAAAAAAAAh0/RWFFaWsfMLM/s320/untitled.bmp" border="0" /><br /><div>5150 rue des Ormes, réalisé par Éric Tessier ( Sur le Seuil ), qui renoue encore avec l'oeuvre écrite de Sénécal. Cette fois c'est l'histoire de Yannick Bérubé ( Grondin), a vingt-trois ans, il étudie en cinéma et mène une vie pleine de promesses. Son malheur débute par une banale chute à bicyclette, devant le 5150 rue des Ormes où il demande de l'aide à un chauffeur de taxi, Jacques Beaulieu( D'Amour). Son univers bascule rapidement dans l'horreur, car suite à une découverte fortuite et incriminante pour la famille Beaulieu, Yannick sera séquestré de force. Or cette famille n'est pas banale , le père est un psychopathe qui ne jure que par le jeu d'échec et qui se prend pour le dernier des Justes ; Michelle (Mylène St-Sauveur) , l'adolescente, semble encore plus dangereuse que son père ; Maude (Sonia Vachon) , l'épouse et la mère, éprise de religion et soumise aveuglément à son mari. Quant à la petite Anne, elle est muette et ses grands yeux immobiles ressemblent à des puits de néant... Pour Yannick Bérubé, l'enjeu est simple: il doit s'évader à tout prix de cette maison de fous, sinon, il va y laisser sa peau...ou sa raison.</div><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5445943539641951074" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 216px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5Pgy6MxI2I/AAAAAAAAAiM/UzCFA-1rbXE/s320/5150__rue_des_ormes__2009_0959.jpg" border="0" /><br /><br /><div>Comme je n'est pas lu le livre, je ne peux pas me prononcer sur sa valeur. Je ne ferais donc aucuns rapprochements entre les deux oeuvres, même si je perçois que sous forme de roman, cette histoire aurait plus d'impact. Pour un film qui se base sur la tension psychologique, l'effroi et l'appréhension quand au sort réservé au séquestré, je crois que Tessier maîtrise mal les techniques de ce genre cinématographique. Le babillage incessant de ce film trop bavard, réussit à étouffer toute peur et angoisse, déconnectant la tension chaque fois qu'elle tenait presque le spectateur. Pour une famille de psychopathes, les Beaulieu sont plutôt charitables , la mère est douce et aimante, la petite fille Anne est innocente et inoffensive. Reste le père et l'adolescente Michelle, qui sont capables du pire mais semblent néanmoins presque normaux, hormis leurs crimes. Dès le départ, ils font comprendre trop clairement à Yannick Bérubé qu'il ne lui veulent aucun mal et qu'il n'est qu'arrivé au mauvais endroit au mauvais moment. Cet aveux ainsi que la douceur avec laquelle il est traité par la famille, sauf peut-être Michelle, qui lui en fait baver un peut plus, fait retomber vite le stress de la situation qui devient, faute d'être dangereuse dans l'immédiat, plutôt ennuyeuse. Trop d'explications et trop vite filtrent au prisonnier, qui ne subit que peu de sévices et est convié à partager les repas de cette famille, dont il devient plus l'invité gênant que le kidnappé . On remarque aussi le peu d'efforts et la mollesse de Bérubé dans ses piètres et pathétiques tentatives d'évasion. Trop souvent les barreaux de sa cage s'entrouvrent sans qu'il ne tente quoi que soit. Le film de Tessier dérive vers le drame psychologique, puisque le personnage interprété par Grondin sombre dans une folie compulsive à une vitesse difficile à justifier par un petit huis clos de quelques mois, on a peine à le reconnaître. Encore là, il y a exagération quand à son état mental , étrange suite à une si courte incarcération et des contacts sociaux constant avec la famille. 5150 rue des Ormes aurait été mieux servit en dévoilant moins rapidement ses cartes, par plus de mystères, des sons étranges et inquiétants parvenant aux oreilles de Yannick au lieu de contact franc et direct avec son geôlier. La fin s'emmêle dans des invraisemblances et facilités de scénario qui ne correspondent pas à la logique de l'état d'esprit des personnages, c'est ''too much'' et très improbable.<br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5445943343680362050" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 212px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5PgngL4lkI/AAAAAAAAAiE/iuZepQAOAJs/s320/untitled1.bmp" border="0" /><br />Je pense que Normand D'Amour aurait pu en faire plus, conte tenu de son grand talent, il semble juste bizarre et obsessif , on le voit tuer mais il n'inspire que peu la crainte et la folie. La nature calme de son personnage et les relations qu'il entretient avec sa famille et son prisonnier contraste avec l'horreur absolue et glauque qui se tapit dans son sous-sol. Là le film parvient à choquer, c'est cru et digne d'un ''Seven''. Marc-André Grondin est assez faible, il en fait trop pour illustrer la détresse psychologique, essayant à tout prix de prouver son potentiel d'acteur, il surjoue et retire de la crédibilité à son personnage. Je n'est ressenti ni effroi ni sympathie pour son malheur, tant j'ai eu du mal à admettre son état psychologique. Son évolution se détériore trop vite, si bien qu'on se demande s'il n'avait pas déjà une pathologie latente. Son personnage est mal définit et mal compris par Grondin, qui peine à rendre crédible l'affrontement finale avec Beaulieu. J'ai du mal à me le figurer , je doute grandement que j'agirais comme lui, à sa place, c'est peu crédible et interprété avec excès et manque de retenue. Quant àMylène St-Sauveur , elle ne dégage pas grand chose, si ce n'est une légère pointe de sensualité. Son interprétation est improbable, ses motivations illogiques et tirées par les cheveux. Elle parais trop normale: elle va à l'école, elle à des amies, un chum et semble bien trop banale pour jouer les justicières tueuses en série. Surtout quand on considère l'horreur que son père bien aimé, fomente au sous-sol. Sonia Vachon est correcte dans le rôle qu'on lui à octroyé, elle se cantonne bien dans la naïveté et la soumission, son interprétation aurait gagnée à être plus développée. Je l'aurais préféré en digne émule de Katie Bates dans ''Misery'', où ses abords de gentillesse et de dévotion auraient pu cacher un intérieur sombre et torturé, dommage mais ce n'était pas dans le livre.<br /></div><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5445943047233633538" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 214px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5PgWP1efQI/AAAAAAAAAh8/-MYQe-lgseU/s320/600_rbhy62.jpg" border="0" /><br /><div>Tout ce talent potentiel, gaspillé par une faible direction, un scénario qui ne tient pas la route et qui donne au final un thriller franchement dégonflé. Le rythme est lent et on sent qu'on cherche à étiré une sauce finalement pas très épicée. Même la fin, trop ouverte et incohérente, déçoit. J'ai quand même écouté jusqu'au bout, j'ai été surpris par quelques revirements et je trouve l'ensemble assez sympathique. Normand D'Amour est un acteur de talent qui se révèle de plus en plus au Québec et Grondin n'est pas mauvais, on va lui donner le bénéfice du doute, après l'excellent ''C.R.A.Z.Y''. J'espère que les ''7 jours du talion'', la prochaine adaptation d'un livre de Patrick Sénécal, sera plus concluante.</div><br /><div><br /></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5445943804410772130" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 206px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S5PhCUikuqI/AAAAAAAAAiU/10jszI_nP3Y/s320/Normand%2520D%2527Amour%2520et%2520Marc-Andr%25C3%25A9%2520Grondin%2520sur%2520le%2520plateau%2520de%25205150,%2520rue%2520des%2520Ormes%2520(2).jpg" border="0" /><br /><div></div><br /><div>Une Note de passage de Cinéma Critique: <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">6/10</span></div></div><br /><div></div><br /><div></div><br /><div></div><br /><div></div><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/8TFq9k6c3dM&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/8TFq9k6c3dM&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-77763962289906476382010-02-28T10:13:00.009-05:002010-03-01T06:37:47.262-05:00The Box 2009, critique<div align="center"></div><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sDYMQJZhI/AAAAAAAAAgc/E-XhNMYGQ_I/s1600-h/19142915_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090721_052348.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443448288748070418" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 240px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sDYMQJZhI/AAAAAAAAAgc/E-XhNMYGQ_I/s320/19142915_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090721_052348.jpg" border="0" /> <p align="center"></a>Voilà un petit film qui m'a agréablement surpris, quelques fois, c'est dans les petites boites qu'on trouve les meilleurs ingrédients. Malgré la présence de Cameron Diaz, qui ne trône pas particulièrement dans mon palmarès d'actrices favorites, ce film en apparence anodin à beaucoup à offrir. Un univers extrêmement étrange et disjoncté, à la frontière entre la science- fiction et le thriller, qui rappelle un peu l'univers de Lynch ou de Cronenberg.
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<br /></p><div align="center"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443448484265733314" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sDjknMLMI/AAAAAAAAAgk/u06gfBVEC38/s320/the-box-2009-15488-1750422982.jpg" border="0" /><strong><em> la boite maléfique...</em></strong><strong></div></strong><p align="center">Le scénario, <span style="color:#000000;">assez</span> simpliste, tiré d'une nouvelle de Richard Matheson (I Am Legend), et porté à l'écran par le très éclectique Richard Kelly, à qui l'on doit le mémorable ''Donnie Darko'', son chef-d'oeuvre à ce jour. Une femme et son époux découvrent une mystérieuse boîte déposée un matin devant leur domicile par un homme énigmatique. Ce dernier révèle qu'en appuyant sur le bouton rouge de la boîte, ils recevront un million de dollars mais que cela entraînera la mort d'un inconnu dans le monde. Face à un dilemme moral important mais en proie à des difficultés financières, le couple décide, malgré tout, d'appuyer sur le bouton fatidique. Déclenchant, par ce geste cupide, une véritable boite de pandore qui les mènera vers un univers délirant où la réalité s'enfonce dans une dimension singulière.
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<br /></p><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443451513960209026" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 214px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sGT7GpGoI/AAAAAAAAAhU/jJZymsHVkzM/s320/the-box-movie.jpg" border="0" /> <p align="center"><strong><em>En grande délibération...</em></strong>
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<br />The Box possède une esthétique à l'ancienne, très ''old school'', qui n'est pas sans rappeler ''The stepford wifes''. L'action se déroule dans les années 70, dans une petite banlieue cossue où le parfait petit couple modèle : papa futur astronaute et maman institutrice, tentent, tant bien que mal, d'offrir ce qu'il y a de mieux à son enfant. Seulement, tout ce gâte, la carrière à la Nasa bat de l'aile et maman est ridiculisée à l'école par un étudiant qui se moque d'une infirmité à son pied gauche, suite à un accident . Des déboires, plus pathétiques qu'aliénants, poussent le couple, vers l'appât d'un gain facile, même si ça implique un acte abjecte et immoral. Après tout, cette boite n'est peut-être qu'une arnaque et l'étrange gentlemen qui leur à fait cette proposition diabolique, les assure qu'aucune personne de leur entourage ne sera impliquée. Ce couple en apparence modèle et heureux, cache peut être les graines d'une engeance plus pourrie qu'il ne parait aux premiers abords. Richard Kelly aurait pu jouer la carte du dilemme moral et simplement exploiter cet aspect, mais il choisit de nous entraîner sur des sentiers dérapants où la réalité disparaît dans une dimension parallèle où se côtoient philosophie et théologie. Le bouton, une fois poussé, amorce un film décapant et franchement flippant qui éclate en une série d'évènements impliquant: les services secrets, la Nasa, la foudre et d'étranges individus qui semblent hypnotisés et contrôlés par une puissance mystérieuse. On nage en plein ''Twiligt zone'', si bien que vers la moitié du film les plus perspicaces, eux mêmes, seront confondus. Des pistes disparaissent dans toutes les directions et la plausibilité des évènements s'estompe. On pourra, dès lors, départager deux camps de spectateurs: les cartésiens, qui plieront bagages et décamperont et les adeptes du mystérieux et de l'ésotérisme, dont l'imagination, si elle est fertile, sera choyée.
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<br /></p><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443449718056128994" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 210px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sErY1vkeI/AAAAAAAAAg0/9SwVxfJs9ak/s320/5dd71dbb5b5566002cf1264.jpg" border="0" /> <p align="center"><strong><em>Arlington Stewart</em></strong></p><p align="center">Si Cameron Diaz n'est pas tout à fait ce que je pourrais appeler une actrice accomplie, force est d'admettre qu'elle livre un jeu juste et convaincant, peut être son meilleur rôle depuis '' Being John Malkovich''. Son mari, Arthur Lewis ( James Marsden ), n'obtiendra aucunes récompenses pour ce rôle, somme toute banal. Une performance honnête, pour un personnage moins élaboré, qui se situe dans l'action plus que dans les dialogues. En revanche, l'incroyable Frank Langella, insuffle à son personnage , Arlington Steward, cet étrange homme en noir, incarnation machiavélique du diable en personne, ou autre chose de plus inquiétant encore, une force tranquille et une assurance toute surnaturelle. Avec son visage ravagé par dieu sait quel accident atroce, glace le sang à chacune de ses apparitions. </p><p>
<br /></p><p></p><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sIXajq4pI/AAAAAAAAAhc/-9z-N2bv-Tc/s1600-h/19195149_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20091106_032943.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443453772966322834" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 259px; CURSOR: hand; HEIGHT: 168px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sIXajq4pI/AAAAAAAAAhc/-9z-N2bv-Tc/s200/19195149_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20091106_032943.jpg" border="0" /></a> <a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sIftKobXI/AAAAAAAAAhk/L18DCjwL5kQ/s1600-h/the-box-2009-15488-711341426.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443453915400531314" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 256px; CURSOR: hand; HEIGHT: 146px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sIftKobXI/AAAAAAAAAhk/L18DCjwL5kQ/s200/the-box-2009-15488-711341426.jpg" border="0" /></a>
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<br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5443450678936159922" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 214px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4sFjUZZRrI/AAAAAAAAAhE/ky-EcYlNrec/s320/the_box_movie_image_cameron_diaz_day_1.jpg" border="0" /> <p align="center"><em><strong>Cameron traquée...</strong></em>
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<br /></strong></em>Note finale de Cinéma Critique, un bon <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">7/10</span> </p>
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<br /><object height="340" width="560"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/wFm-6N4QbBQ&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/wFm-6N4QbBQ&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-31674729289724524122010-02-22T21:01:00.008-05:002010-02-27T11:37:25.804-05:00Shutter Island, 2010<div><div><div><div><div><div><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lHCrWYx2I/AAAAAAAAAfM/Hv_Nm5vO7cU/s1600-h/shutter_island_5.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442959735975888738" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 213px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lHCrWYx2I/AAAAAAAAAfM/Hv_Nm5vO7cU/s320/shutter_island_5.jpg" border="0" /></a> Shutter Island, le nouveau Scorsese, un gage de qualité pour certain, à suscité bien des attentes et des espoirs. Répond-il aux attentes des cinéphiles? Oui, de bien des manières, mais c'est un succès mitigé, qui en laissera plusieurs sur leurs appétits.<br /><br />Shutter Island est une adaptation d'un polar signé par Dennis Lehane, dont Clint Eastwood a déjà porté à l'écran "Mystic River" et Ben Affleck "Gone, Baby Gone" et qui est également coproducteur du film. Martin Scorcese honore, une fois de plus, la confiance qu'il porte à son acteur fétiche des 10 dernières années, Leonardo DiCaprio. L'histoire se déroule en 1954, au large de Boston, sur une île où se dresse Ashecliffe, un hôpital psychiatrique de haute sécurité enfermant des criminels extrêmement dangereux. Deux marshals, Teddy Daniels ( DiCaprio ) et Chuck Aule ( Mark Ruffalo ) sont envoyés à la recherche d'une patiente mystérieusement disparue et internée pour le meurtre de ses enfants. Alors qu'une tempête approche, Teddy Daniels est confronté aux mensonges des médecins et à ses propres démons intérieurs.<br /></div><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442960000751745506" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 383px; CURSOR: hand; HEIGHT: 146px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lHSFt3ueI/AAAAAAAAAfU/IQJEuqEFLfE/s320/Shutter-island-movie-stills-19.jpg" border="0" /><br /> Shutter Island, est un film dur à décortiquer et à aimer. C'est un film très sombre, qui conduit dans les dédales les plus repoussants de la psyché humaine, aux tréfonds des souvenirs mal cicatrisés, qui pourrissent l'âme. Pas tout à fait le genre de film auquel je m'attendais. Je croyais que j'allais assister à un ''Seven'' ou un ''Silence des Agneaux'', vù la bande annonce. J'ai été bluffé, il ne s'agit pas juste d'une enquête conventionnelle, mais plutôt d'un thriller psychologique aux revirements multiples. Disons simplement, que personnellement, les sentiers empruntés par Shutter Island m'ont déplus, j'aurais préféré un autre traitement ou tout simplement un autre genre de film dans ce même contexte. Même si le matériau du film est peaufiné avec un amour certain: lieux fantomatiques et inquiétants, personnages mystérieux et étoffés, musique d'ambiance et photographie magnifique. La réalisation souffre d'être trop académique et laisse peu de place à l'originalité. Tourné dans un ancien asile psychiatrique désaffecté du Massachusetts , Shutter Island, bénéficie d'un cadre naturel <a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lINJ8ODzI/AAAAAAAAAfs/SVMEV7X2cjM/s1600-h/shutter_island_pic02.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442961015497953074" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lINJ8ODzI/AAAAAAAAAfs/SVMEV7X2cjM/s320/shutter_island_pic02.jpg" border="0" /></a>exceptionnel pour son décor, lui permettant d'économiser sur l'emploi du numérique. C'est une bonne chose car les rares moments où la technologie numérique entre en oeuvre, sont tous assez ratés de mon point de vue. Certaines scènes semblent s'être inspirées directement des excellents jeux vidéo de la franchise ''Silent Hill'' et de leur adaptation cinématographique par Christophe Gans ( scènes de désintégration de la réalité, la scène où DiCaprio enlace sa femme qui tombe en cendres, etc..). L'utilisation des flash-backs à outrance, perturbe la compréhension du récit. Bien que nécessaire, pour balayer les repaires des spectateurs à mesure que la réalité s'estompe pour faire place à un entre deux mondes, celui de la folie et celui tangible. Néanmoins, il est facile et prévisible pour le spectateur attentif, de mettre le doigt sur la solution. Coup de théâtre final, pour certains, où confirmation de la logique intuitive pour d'autres.<br /><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lHoIkh9cI/AAAAAAAAAfc/H8zcoohNDVA/s1600-h/19244444_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100205_032058.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442960379474998722" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lHoIkh9cI/AAAAAAAAAfc/H8zcoohNDVA/s320/19244444_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100205_032058.jpg" border="0" /></a>Leonardo DiCaprio est un acteur de talent, malgré sa tronche d'éternel adolescent, il parvient quand même à donner de la profondeur à son personnage, même si le film, par ses trop nombreux flash-backs, se charge à sa place, de faire comprendre le drame qu'il vit. Très intense d'un bout à l'autre, on peut sentir une nouvelle maturité dans son jeu. Ben Kingsley se charge de lui donner la réplique, puisque le personnage de Mark Ruffalo n'est qu'accessoire. C'est avec flegme et délicatesse, que cet inquiétant <a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lI2BDFCjI/AAAAAAAAAf8/fmZ8BSKKcNI/s1600-h/19250393_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100216_055846.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442961717485439538" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 132px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lI2BDFCjI/AAAAAAAAAf8/fmZ8BSKKcNI/s200/19250393_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100216_055846.jpg" border="0" /></a>personnage s'adresse aux marshals, mais n'est- ce pas là une façade qui cache un savant fou, menant clandestinement, des expériences psychiatriques innommables. On note la présence de Max von Sydow, ce légendaire acteur, qui campe ici un second rôle intéressant en là personne du Dr. Jeremiah Naehring, un étrange ex-nazi. Les deux femmes, Michelle Williams et Emily Mortimer, respectivement Dolores Chanal et Rachel Solando, appuient la distribution avec brio, même si ce n'est pas de grandes performances pour elles.<br /></div><div><div><div><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442960698731478130" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lH6t5NPHI/AAAAAAAAAfk/mg8J4qc3D7Y/s320/19244453_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100205_032253.jpg" border="0" /><br /><div><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lGs_GFkHI/AAAAAAAAAfE/XseQYtMMM4I/s1600-h/19250389_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100216_055845.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442959363319107698" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lGs_GFkHI/AAAAAAAAAfE/XseQYtMMM4I/s200/19250389_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100216_055845.jpg" border="0" /></a>En conclusion, Martin Scorsese, que certains sont prompt à étiqueter de réalisateur sur son déclin, nous arrive avec un film aboutit et fouillé, qui s'appuie sur des décors extraordinaires et une ambiance gothique et sinistre à souhaits. Respectant, peut-être un peu trop à la lettre, le roman et abusant, sans vergogne, des retours dans le passé, occultant ainsi, la performance de Leonardo. En voulant tout montrer, Scorsese laisse peu de place à l'imagination ou à la démonstration de l'émotion dans le jeu de l'acteur principal. Personnellement, je dois me ranger aux arguments d'un film aux qualités cinématographiques certaines, d'un scénario alambiqué et tordu à souhait . Même si, pour ma part, les indices étaient trop nombreux pour ne pas découvrir le twist final, il n'en demeure pas moins surprenant. Reste à savoir si j'ai vraiment aimé? J'aurais certainement préféré l'autre dimension possible au film, l'autre alternative, mais on ne réécrit pas un roman!<br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442962107080846850" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 267px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lJMsZ3LgI/AAAAAAAAAgE/ATRNYwbSvic/s400/nouvelle-photo-pour-shutter-island_630_630.jpg" border="0" /><br />Verdict final de Cinéma Critique : <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">8/10</span> excellent!</div></div></div></div></div></div></div></div><br /><br /><object width="560" height="340"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/HYVrHkYoY80&hl=en_US&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/HYVrHkYoY80&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-69314468156103649312010-02-17T22:03:00.007-05:002010-02-19T10:17:35.462-05:00Pandorum, 2009<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36khNU54DI/AAAAAAAAAd8/WLYW3ATd2hI/s1600-h/19161360_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090831_030711.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5439966290330116146" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 227px; CURSOR: hand; HEIGHT: 261px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36khNU54DI/AAAAAAAAAd8/WLYW3ATd2hI/s320/19161360_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090831_030711.jpg" border="0" /></a><br />Pandorum, film de science-fiction horrifique, aura créé chez moi bien des attentes qui se sont soldées, une fois de plus, par une certaine déception. Moi qui m'attendais à un produit de qualité du type Aliens ou même Event Horizon, je suis resté sur mon appétit. Bien des points resteront nébuleux par manque d'informations ou simplement à cause de nombreuses incohérences. Une histoire de science fiction plutôt banale et éculée: un vaisseau transportant des colons vers une planète d'ensemencement, suite à la destruction de la terre, est la cible d'attaque de créatures inconnues et sanguinaires. Le lieutenant Payton ( Dennis Quaid ) et le caporal Bowers ( Ben Foster ), deux membres d'équipage, se réveillent après un long voyage en hyper-sommeil. Ils ne se souviennent ni de leur identité ni de leur mission. Ils découvrent rapidement des survivants cachés dans leur vaisseau spatial, poursuivis par d'étranges créatures. Ils devront découvrir ce qui s'est passé.<br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5439966903295871938" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 135px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36lE4zVC8I/AAAAAAAAAeM/DmIjGdgB_4w/s320/19155794_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090819_110122.jpg" border="0" /> Le pandorum, c'est un état de confusion mentale extrême, qui peut survenir suite à un long voyage en hyper-sommeil. Une sorte d'hibernation qui conserve le corps intact pendant de très longs vols spatiaux. Une confusion qui s'empare aussi du spectateur, tant les explications de ce qui se déroule sur le vaisseau spatial tardent à venir et sont distribuées au conte goutte. Sans vouloir dévoiler l'intrigue, disons que la présence des créatures et leur grand nombre, ainsi que leurs caractéristiques: rapides et belliqueuses, sont tous des éléments scénaristiques très difficiles à avaler. La présence de survivants sur d'aussi longues périodes, ainsi que celle de la colonie de créatures, dans un environnement hostile, presque sans aucune nourriture, est une autre question sans réponses.<br /><br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36lh-KuBZI/AAAAAAAAAec/rlBEoKAP_Mo/s1600-h/pandorum1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5439967402952361362" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 213px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36lh-KuBZI/AAAAAAAAAec/rlBEoKAP_Mo/s320/pandorum1.jpg" border="0" /></a> Ce troisième film de Christian Alvart, n'a pas que des défauts. Son ambiance, noire et claustrophobique, et son montage, rapide et saccadé, parviennent à nous mettre sur les nerfs et c'est un bon point. Bien que puisant dans une multitudes d'autres films du même genre, dont la liste serait trop longue, Pandorum développe quand même quelques bonnes idées qui lui sont propres. Notons, au passage, la tension psychologique et les étranges symptômes de maladies mentales des membres d'équipage, qui corsent, encore d'avantage, une situation déjà très éprouvante pour nos survivants. Le design du vaisseau, rébarbatif et peu convivial, plongé dans l'obscurité, devient un environnement glauque et inhospitalier qui renforce le malaise et ajoute au stress des apparitions cauchemardesques des bestioles qui hantent les lieux.<br /><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36mCac3E2I/AAAAAAAAAes/VjiDRCzoKu4/s1600-h/pandorum-dennis-quaid.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5439967960300458850" style="WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 240px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36mCac3E2I/AAAAAAAAAes/VjiDRCzoKu4/s320/pandorum-dennis-quaid.jpg" border="0" /></a><br /><br />Le jeu des acteurs est inégal et parfois dans un registre étrange, surtout dans le cas de Ben Foster, une vraie tête de psychopathe sur les amphétamines! Pourtant, c'est le personnage central et on voit l'action par ses yeux, il est donc excessivement difficile de s'en faire pour lui. Il ne ressemble pas à un héros ni à une victime, plus à un prédateur en puissance et dangereusement névrosé. On dirait que c'est lui qui va faire violence à ses coéquipiers et sa désamorce un peu le suspense. Dennis Quaid, pas mauvais du tout, est un acteur de potentiel, dont la carrière cinématographique n'a jamais vraiment levée, faute d'a<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36lSJNKkcI/AAAAAAAAAeU/sqfnbwoo_jM/s1600-h/19155792_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090819_110122.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5439967131037503938" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 208px; CURSOR: hand; HEIGHT: 294px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36lSJNKkcI/AAAAAAAAAeU/sqfnbwoo_jM/s320/19155792_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090819_110122.jpg" border="0" /></a>voir eu des rôles à la hauteur de son talent. Ici, il incarne le lieutenant Payton, qui fait partie d'une des équipes de relève, qui se réveille, à tour de rôle, pour veiller à la bonne marche de la mission. Le hic, c'est que ces longues périodes de sommeil spatial créent une amnésie temporaire, et ni lui ni Bowers ne se souviennent de qui ils sont ni de ce qu'ils doivent faire. Il deviendra le guide audio de Payton dans son périple à travers le sombre navire, car il est coincé dans un réduit, heureusement équipé d'un ordinateur, à l'aide duquel il orientera Bowers. La voix des protagonistes en français à quelque chose d'agaçant, je ne sais pas si c'est la traduction française ou québécoise, mais le ton m'a dérangé, au point où j'ai du passer à la version originale anglaise, bien meilleure.<br /><br />Dans l'ensemble, Pandorum, souffre d'un problème de plagiat manifeste et d'emprunts multiples à ses prédécesseurs plus heureux, comme les Aliens où The Descent. Il possède, malgré tout, de bons ingrédients comme le développement psychologique poussé des personnages, face à la maladie mentale, propre au voyage spatial. Une fin, très surprenante, aux multiples rebondissements et des acteurs convaincants, dans des registres inhabituels. Soulignons les effets spéciaux assez réussis, malgré un budget des plus minces. Si vous aimez le genre et que vous n'êtes pas sujet à l'hématophobie ( peur du sang ), peut-être que ce petit film, sans prétention, saura vous satisfaire, malgré ses invraisemblances et facilités de scénario, il distille une certaine ambiance terrifiante.<br /><br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5439967722989373778" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 212px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S36l0mZfSVI/AAAAAAAAAek/Q1FDngTE83Y/s320/pandorum05.jpg" border="0" /><br />Note finale de Cinéma Critique: ça passe de justesse: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">6/10</span>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-33988440897878071782010-02-12T08:04:00.006-05:002010-02-12T16:19:32.979-05:00Démineur (The Hurt Locker), 2008<img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379307323176690" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 269px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3Vzq-oOtvI/AAAAAAAAAdM/YN6XB8x9o90/s400/thehurtlockernuevoposter.jpg" border="0" /><br /><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div>Le Démineur, un film signé Kathryn Bigelow, ex-madame Cameron, auteure de films cultes qui plaisent à la gentes masculine, comme l'adulé Point break et l'innovateur Strange Day ou encore K-19, un film de sous-marin avec Harrison Ford. Cette petite dame, sait comment filmer l'action, en s'attachant de près à ses héros, plus grands que nature, leur conférant une aura mystique. </div><div><br /><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3Vz3cama2I/AAAAAAAAAdU/n4UtCvmrRW4/s1600-h/alg_directors.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379521477503842" style="WIDTH: 212px; CURSOR: hand; HEIGHT: 139px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3Vz3cama2I/AAAAAAAAAdU/n4UtCvmrRW4/s320/alg_directors.jpg" border="0" /></a><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VziQWhLBI/AAAAAAAAAdE/EcH3TifUyRQ/s1600-h/hurt-locker-kathryn-bigelow.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379157461904402" style="WIDTH: 195px; CURSOR: hand; HEIGHT: 138px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VziQWhLBI/AAAAAAAAAdE/EcH3TifUyRQ/s200/hurt-locker-kathryn-bigelow.jpg" border="0" /></a></div><div><br />Ici, on a à faire à un film de guerre non conventionnel, qui se déroule en Irak, actuellement. Une petite unité de terrain, se spécialise dans le désamorçage d'engins explosifs, militaires ou artisanales, le genre de bombes qui sème la terreur à Bagdad et qui fait la manchette quotidienne des médias internationaux, quand elles explosent. Le lieutenant James (Jeremy Lee Renner), nouvellement promu à la tête de la meilleure unité de déminage de la U.S Army, suite à la mort accidentelle de son prédécesseur, a pour mission de neutraliser, en zone chaude, tout ce qui peut exploser et causer des pertes de vies humaines. </div><div><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VzhOa1kmI/AAAAAAAAAck/qvnlHHPNq0k/s1600-h/the-hurt-locker-pic1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379139763278434" style="WIDTH: 203px; CURSOR: hand; HEIGHT: 142px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VzhOa1kmI/AAAAAAAAAck/qvnlHHPNq0k/s200/the-hurt-locker-pic1.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VziGPxVNI/AAAAAAAAAc8/T2bk4gxgNDg/s1600-h/The-Hurt-Locker_renner.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379154749248722" style="WIDTH: 207px; CURSOR: hand; HEIGHT: 144px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VziGPxVNI/AAAAAAAAAc8/T2bk4gxgNDg/s200/The-Hurt-Locker_renner.jpg" border="0" /></a></div><div><br />Voilà un film surprenant et très rafraîchissant, qui se démarque avec brio des habituels films de guerre aux relents patriotiques et moralisateurs. La vision de la réalisatrice Kathryn Bigelow, sur la guerre, tranche nettement avec les paradigmes bien définit du genre guerrier.<br />Bien que comportant sa dose de testostérone et d'adrénaline, ce film prend le temps d'établir la tension de façon lente et intelligente. Loin des grands angulaires panoramiques des champs de bataille, la caméra, nerveuse, suit au plus près, une poignée d'individus plutôt qu'un ensemble. On s'attache à l'unité du lieutenant James et ses compagnons d'armes: le sergent Sanborn (Anthony Mackie) et le soldat Eldrige( Brian Geraghty), deux soldats courageux mais prudents, qui n'ont pas envie de laisser leur peau en Irak. Ils attendent, avec impatience, la relève, qui les renverra, en sécurité, sur le sol américain. Seulement, c'était sans compter la tête brûlée d'officier supérieur, William James. </div><div><br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3V0Dgl8hYI/AAAAAAAAAd0/up_grPc7Ngs/s1600-h/hurt-locker-june1-590x331.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379728757261698" style="WIDTH: 227px; CURSOR: hand; HEIGHT: 152px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3V0Dgl8hYI/AAAAAAAAAd0/up_grPc7Ngs/s200/hurt-locker-june1-590x331.jpg" border="0" /></a></div><div><br />Le huis clos sert admirablement ce film, qui s'apparente plus au western qu'au film de guerre. Le Démineur tient d'avantage d'un Platoon ou d'un Full Metal Jacket. C'est un film ultra réaliste qui développe beaucoup ses personnages, nous les rendant plus précieux. Le suspense, lors du désamorçage des explosifs, gagne donc en stress et en intensité. Les moments clés du film sont, évidement, le lent travail de précision qui consiste à neutraliser un engin de facture artisanale pouvant être déclenché, à tout moment, par un activiste, peut-être ce cameraman sur son balcon où ces trois hommes en haut du minaret. La mort peu frappée comme l'éclair, et pendant que James, très exposé, s'occupe des mécanismes douteux des bombes avec une simple paire de pinces, au péril de sa vie, ses deux coéquipiers surveillent les alentours hostiles, aux jumelles. Une scène, très intéressante, nous montre une petite unité de marines, dont nos trois héros, coincée pendant des heures, dans le désert, maintenu en joue par un sniper ennemi, qui les canarde à près d'un kilomètre. On se croirait dans un duel, au Far West, quand deux as du revolver se font face et se dévisage de longues minutes, dans une tension à couper le souffle.</div><div></div><div><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3V0Da5a1TI/AAAAAAAAAds/gfbrTKyP7Ck/s1600-h/hurt-locker-boom.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379727228327218" style="WIDTH: 223px; CURSOR: hand; HEIGHT: 154px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3V0Da5a1TI/AAAAAAAAAds/gfbrTKyP7Ck/s200/hurt-locker-boom.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VzHI6xklI/AAAAAAAAAcU/ZLkS20GL7-k/s1600-h/18976936_w434_h_q80.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437378691610022482" style="WIDTH: 191px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VzHI6xklI/AAAAAAAAAcU/ZLkS20GL7-k/s200/18976936_w434_h_q80.jpg" border="0" /></a><br /><br />Tous les acteurs du film jouent juste et sont crédibles, dirigé par le scénariste Mark Boal (Dans la vallée d'Elah), qui a passé près d'un an en Irak suivant une vraie équipe de démineurs. On peut voir les excellents Guy Pearce et Ralph Fiennes qui font de courtes mais intéressantes apparitions. Pour des raisons de sécurité évidentes, le film n'a pu être tourné en Irak. L'équipe a donc opté pour Amman, en Jordanie. Certaines scènes ont été tournées à quelques kilomètres de la frontière irakienne. Des réfugiés irakiens jouent d'ailleurs des petits rôles ou font de la figuration. Le résultat donne un environnement extrêmement crédible et ajoute au sentiment de vivre un reportage en direct de Bagdad, plus qu'un film. </div><div><br /><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3V0DbWLkgI/AAAAAAAAAdk/Iuxxs0T_TBg/s1600-h/hurt_locker_2.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379727348961794" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 129px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3V0DbWLkgI/AAAAAAAAAdk/Iuxxs0T_TBg/s200/hurt_locker_2.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VzPtdXr8I/AAAAAAAAAcc/fA1Wz4vCcJ4/s1600-h/untitled.bmp"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437378838857756610" style="WIDTH: 191px; CURSOR: hand; HEIGHT: 127px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3VzPtdXr8I/AAAAAAAAAcc/fA1Wz4vCcJ4/s200/untitled.bmp" border="0" /></a></div><div><br />Kathryn Bigelow nous fait vivre de belles émotions et nous peint un tableau fidèle du quotidien des hommes pris dans ce conflit infernal. Quelques figures attachantes parmi les Irakiens, mais un sentiment de défiance et une hostilité palpable de l'ensemble du peuple, qui exècre la présence des G.I sur leur sol, avec raison. On nous fait resentir le besoin inhérent d'émotions fortes et de dangers, aux quels, carburent ces hommes d'actions. Au point où ça peut devenir une véritable addiction pour certain, dont l'excellent lieutenant James, campé avec talent, par le surprenant Jeremy Renner, qui à des nuances à sa palette d'acteur. Bref la guerre comme mode de vie, en réfraction à une vie à l'américaine qui apporte bien peu de défit et tellement de monotonie.</div><div></div><div><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3Vz3tPj1XI/AAAAAAAAAdc/GgBQWcTwE9M/s1600-h/hurt%2520locker.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5437379525994599794" style="WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 214px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3Vz3tPj1XI/AAAAAAAAAdc/GgBQWcTwE9M/s320/hurt%2520locker.jpg" border="0" /></a><br /><br />Note finale de cinéma critique, un excellent: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">8/10</span></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div><br /><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/jMInkwXXaQI&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/jMInkwXXaQI&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-74117605589235672732010-02-09T16:58:00.010-05:002010-02-09T19:10:34.077-05:00Destination finale 4, 2009<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H3o2B2BnI/AAAAAAAAAbo/g5cQz_V-ZDk/s1600-h/destination_finale_4_6.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5436398506282976882" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 142px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H3o2B2BnI/AAAAAAAAAbo/g5cQz_V-ZDk/s200/destination_finale_4_6.jpg" border="0" /></a><br /><div><div><div><div align="left">Pour moi c'est aussi une destination finale, je ne dépenserais plus jamais, sous aucuns prétextes, le moindre sous pour cette franchise minable. De toute façon ce genre de films s'adresse aux très jeunes adolescents et encore, seul les moins matures y trouveront leur compte. Si les deux premiers opus de la série s'avéraient ingénieux et divertissants, les 2 autres sont de purs navets exécrables. Une bande de gosses écervelés assistent à une course de Nascar, quand tout à coup, le moins at<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H3GtJX67I/AAAAAAAAAbY/_q-qpZDKWio/s1600-h/destination-finale-4_1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5436397919783087026" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 196px; CURSOR: hand; HEIGHT: 124px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H3GtJX67I/AAAAAAAAAbY/_q-qpZDKWio/s200/destination-finale-4_1.jpg" border="0" /></a>tardé( de si peu) à une prémonition. Il se voit mourir, lui et ses amis, ainsi que certains spectateurs dans les gradins, suite à un accident de voiture monstre, qui fait s'écrouler une partie de l'enceinte de béton. Il arrive, in extremis, à avertir tout ce beau petit monde ( un nazi, deux pétasses, un mécanicien demeuré et un jeune premier parvenu) qui déguerpissent à temps. Malheureusement pour eux, la mort est contrariée ( avec raison) et veux récupérer son dû. Suivront une longue série de pathétiques mises à mort, toute plus incongrues et improbables les unes que les autres, où nos champions trouveront la mort dans d'affreuses souffrances qui nous feront soit rire ou bailler. Le génie de la troupe, j'ai même pas le goût de le nommer, soyons quand même professionnel: Nick O'Bannon ( Bobby Campo) sauve encore la journée, il reçoit d'autres illuminations où il visualise la mort de ses amis, dans un futur proche. Nos lascars comprendront un peu tard que la mort les récupère dans l'ordre où ils auraient dû y passer. Je vous fais grâce des détails, des stupides accidents prévisibles qui s'enchaîneront inlassablement, sans originalité et a<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H28E2kjsI/AAAAAAAAAbQ/apLxsaQx3VA/s1600-h/destination_finale_4_20.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5436397737168113346" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 133px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H28E2kjsI/AAAAAAAAAbQ/apLxsaQx3VA/s200/destination_finale_4_20.jpg" border="0" /></a>vec des effets spéciaux lourdauds et d'un autre âge qui achèveront de tuer un film qui n'aurait jamais dû prendre l'affiche. Les répliques des soi-disant acteurs, toutes plus risibles, nous démontrent qu'on se paye notre tête. Lorsque les corps s'empilent, dans des circonstances étranges, nos 4 amis continuent leur activités comme si de rien était. Le petit ami de Samantha( Krista Allen), Hunt ( Nick Zano) se prend le cul dans un filtreur et meurt noyé, le lendemain elle fait du shopping et va au cinéma avec un bonheur non dissimulé.Les acteurs de ce film savent-ils seulement jouer où ils n'ont pas reçu le script et ne savent pas exactement en quoi consiste la scène. Finalement on nous promettait de fantastiques effets 3d, n'aya<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H3QwiKRmI/AAAAAAAAAbg/e592QjTIOeY/s1600-h/19159104_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090825_054545.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5436398092491048546" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S3H3QwiKRmI/AAAAAAAAAbg/e592QjTIOeY/s200/19159104_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090825_054545.jpg" border="0" /></a>nt pas reçu de lunettes dans le boîtier du dvd, votre humble chroniqueur ne peut pas vous orienter sur le sujet. Une scène ridicule, où les protagonistes sont au cinéma et visionnent un film trois dimension quand l'écran du film explose, montre l'effet racoleur du 3d, quand on sait que les vrais spectateurs portent, eux-mêmes les lunettes... Vu la qualité infecte du reste, parions que la technologie 3d doit écraser Avatar, haut la main. Bref, un fiasco total, qui n'a même pas le mérite de faire rire, faute de faire peur, qui se prend au sérieux et sombrera définitivement dans les oubliettes, avec les pires torchons du cinéma d'horreur adolescent.</div><br /><p align="left">Un destroy de Cinéma Critique: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">2/10</span></p></div></div></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-49473354005378701672010-02-06T10:12:00.006-05:002010-02-07T10:58:29.853-05:00Ichi 2008, critique<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27g4Vn4ZPI/AAAAAAAAAaY/JFmlIA2G_rg/s1600-h/ichi_2008.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5435529058764481778" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 226px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27g4Vn4ZPI/AAAAAAAAAaY/JFmlIA2G_rg/s320/ichi_2008.jpg" border="0" /></a><br />Ichi, c'est une jolie et jeune japonaise, joueuse de shamisen( instrument de musique traditionnel à 3 cordes), qui voyage en itinérante, dans un Japon médiévale, de villages en villages, pour proposer ses services. Seulement, vous l'aurez compris, Ichi n'est pas ordinaire. Aveugle de naissance, elle à fuit une maison de gozes( femmes japonaises aveugles itinérantes) après avoir subit le viol d'un client. Ce qui la distingue des autres gozes, c'est son habileté redoutable à se servir d'un sabre dissimulé dans son bâton de marche. Malgré sa cécité, elle manie son arme avec une dextérité inégalée. Ce qui fait d'elle une sorte de Zatoichi au féminin, perpétuant encore une fois le mythe du légendaire guerrier aveugle. La belle Haruka Ayase, qui campe Ichi, une petite starlette idolâtrée, chez elle, au Japon, n'est pas une actrice, ce qui ne l'empêche en rien d'être assez convaincante dans son rôle. Il faut quand même reconnaître que son personnage est plutôt renfermé, ne parlant qu'à de très rares occasions durant le film. En effet, son destin tragique : orpheline, abandonnée et traitée durement, fait qu'elle avance dans la vie, comme un fantôme désincarné, à la recherche de celui qui lui à enseigné à manier le sabre et qui pourrait être son véritable père biologique. Je ne suis pas un familier de l'univers de Zatoichi, mais je crois que ce film est peut-être une suite de l'oeuvre original, plutôt qu'un remake. Ichi pourrait être sa fille, qui sait? Ses pérégrinations vont la mener à faire la rencontre d'un héroïque ronin, Toma Fujihira (Takao Osawa) qui tentera de la sauvée des griffes de bandits locaux. Seulement Toma, bien que courageux et vaillant, est en fait un impuissant du sabre, qui répugne à dégainer depuis qu'il a blessé sa propre mère, étant petit. On aura tôt fait de comprendre qui sauve qui, nos deux lascars en deviendront inséparables. Leurs pas les conduiront vers un village tenu par des yakuzas, plutôt honorables, en butte aux constantes attaques d'un puissant gang de bandits de grand chemin, les bankis. Nos héros s'allieront aux habitants du village, dans une lutte héroïque, contre les puissants et cruels bankis et leur chef le machiavélique Banki (Shido Nakamura). Dans le pur style chambara, ce film d'époque respecte tous les codes du genre. Les samouraïs et les ronins, la voie du sabre et les duels sanglants, suivit du Dai-Ketto (grand duel final). Je trouve que la reconstitution historique du Japon, les décors et costumes ainsi que les magnifiques paysages naturels où l'on voit défiler sommets enneigés, vallée luxuriante et des pins majestueux, nous plonge très habilement dans le récit. Magnifique environnement pour se découper les entrailles avec allégresse, dans un ballet de sabres, habilement orchestré par un grand maître du genre: Hiroshi Kuze (Twilight Samurai ). Franchement ce Ichi est une belle découverte pour les amateurs du bushido, la qualité est au rendez-vous et les acteurs sont presque tous crédibles, sauf quelques têtes brûlées qui font des mimiques impossibles et sur jouent avec un empressement juvénile. Probablement moins bon que la série originale télévisuel, ou les 26 films déjà produits sur ce personnage, ni même le récent et excellent de Takeshi Kitano, se mettant en scène lui-même et paru en 2003. Ichi est un film honnête et divertissant qui garde un rythme soutenu, tout en restant intègre et respectueux des codes du chambara.<br /><br /><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27hQPkLTrI/AAAAAAAAAaw/60eIO0usEYY/s1600-h/29pdqvm.png"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5435529469455191730" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 108px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27hQPkLTrI/AAAAAAAAAaw/60eIO0usEYY/s200/29pdqvm.png" border="0" /></a><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27hIpizgpI/AAAAAAAAAao/ohXUMEwoJkc/s1600-h/ichi_31-560x315.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5435529338989806226" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 112px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27hIpizgpI/AAAAAAAAAao/ohXUMEwoJkc/s200/ichi_31-560x315.jpg" border="0" /></a><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27hDGTdCFI/AAAAAAAAAag/yCxVyTIbgFg/s1600-h/ichi_1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5435529243630831698" style="WIDTH: 179px; CURSOR: hand; HEIGHT: 110px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27hDGTdCFI/AAAAAAAAAag/yCxVyTIbgFg/s200/ichi_1.jpg" border="0" /></a><br /><br />Note de cinéma critique: <span style="font-size:180%;color:#cc0000;">7/10</span><br /><p>Bande annonce:</p><br /><object height="340" width="560"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/7IBXYCS6wu0&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/7IBXYCS6wu0&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-16727242410617013902010-02-03T21:02:00.011-05:002010-02-03T23:06:55.303-05:00Numéro 9, 2009<div align="left"><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pEsDiAwcI/AAAAAAAAAZA/hrS_7JgEEf8/s1600-h/19141481_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090717_064113.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5434231424028819906" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pEsDiAwcI/AAAAAAAAAZA/hrS_7JgEEf8/s200/19141481_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090717_064113.jpg" border="0" /></a> <span style="font-family:arial;">Numéro 9 avait presque tout pour plaire, hélas, à l'image de ces petites poupées de chiffons fort attachantes, il semble incomplet et brouillon. Dommage, car la prémisse semblait très prometteuse avec le nom adulé de Tim Burton, comme producteur et le nouveau venu Shane ( Weta-effets spéciaux seigneur des anneaux).Visuellement, c'est du grand art, de l'animation de haute qualité créée avec amour et minutie, un régal absolu pour les yeux.<br /><br />Rappelons rapidement l'histoire: une petite poupée de chiffon au coeur mécanique se réveille dans un monde désolé où l'apocalypse d'une guerre totalitaire, entre l'homme et la machine, n'a laissée que ruine et désolation. Un monde où la vie est irrémédiablement dispar<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pGecXPfvI/AAAAAAAAAZw/su7ELTxyui8/s1600-h/19132230_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090630_122218.jpg"></a>ue, qui rappelle les univers de Terminator ou encore de Fallout pour les amateurs de </span><span style="font-family:arial;">jeux vidéo. En fait, il s'approche beaucoup de Fallout, ou de certaines animations japonaise culte telle que: Steam Boy, Akira, Ghost in the shell ou encore<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pFQ_MKDiI/AAAAAAAAAZY/TBKykSbG5Dk/s1600-h/19147622_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090730_013159.jpg"></a> du travail de Hayao Miyazaki, pour ces univers qui semblent être des dérives futuristes de l'ère industrielle du 19ème siècle. La poupée automate numéro 9 rencontre vite des semblables, fabriqués comme lui, avec de la pacotille mécanique, mais semblant dotée d'une âme. Ensemble, ils lutteront pour leur survie, face à une machine devenue omnipotente qui tyrannise leur monde avec ses sbires mécaniques cauchemardesques.</span></div><br /><div align="left"><span style="font-family:arial;"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5434234395814790802" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pHZCTABpI/AAAAAAAAAZ4/_cQAX5FZWXo/s200/19132230_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090630_122218.jpg" border="0" /></div></span><p><br /> Après cette courte description, libre à vous d'amener vos enfants. Si vous voulez avoir à les consoler et tout leur expliquer, numéro 9 est définitivement un film noir, pessimiste et adulte. On sent la personnalité très forte des deux producteurs Burton et Timur Bekmambetov( Night Watch, Wanted), qui devait avoir de l'ascendant sur le jeune réalisateur Acker. Numéro 9, possède une lourde atmosphère gothique, des abominations mécaniques fondent à tout instants sur nos héros, frêles et inoffensifs. On peut deviner facilement que la guerre qui à eu lieu fût meurtrière et terrifiante pour l'homme, engendrée par des régimes totalitaires, elle à eu raison de tout. <img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5434232364367413618" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 112px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pFiykNAXI/AAAAAAAAAZo/u1HchMzdqBU/s200/19147620_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090730_013042.jpg" border="0" /><br />Le problème de ce court métrage, peut-être justement sa très courte durée(1h20), beaucoup de question restent sans réponse. Les personnages trop vite esquissés, tombent vite<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pFHPRH3pI/AAAAAAAAAZQ/IEmo-C_OdLA/s1600-h/19147623_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090730_013159.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5434231891035676306" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 112px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pFHPRH3pI/AAAAAAAAAZQ/IEmo-C_OdLA/s200/19147623_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090730_013159.jpg" border="0" /></a> dans les clichés du genre et se révèlent peu attachants. Le scénario simpliste, s'effiloche trop rapidement et l'action devient vite redondante, sans grands revirements. Il manque une touche de créativité à ce récit qui viendrait compléter un visuel déjanté et une maîtrise technique irréprochable. En fait c'est de vie qu'il manque, d'amour et de drame humain riche en émotion. Le générique tombe comme un rideau de plomb qui écrase nos questionnements et nous laisse dans l'expectative quand au sort indéterminé et peut enviable de nos petits personnages. J'en aurais voulu beaucoup plus, peut-être une suite? </p><br /><span style="font-family:arial;"><p><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5434232212859476722" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 271px; CURSOR: hand; HEIGHT: 145px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2pFZ-J5WvI/AAAAAAAAAZg/ON7i2V-fKPY/s200/19147621_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090730_013042.jpg" border="0" /><br /> Note finale cinéma critique:<span style="font-size:180%;color:#ff0000;">7/10</span></span></p>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-13148853957698403322010-02-02T12:26:00.038-05:002010-04-11T13:57:25.063-04:00INDEX DES FILMS PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lMQy_JuEI/AAAAAAAAAgU/_1nWkzog4dM/s1600-h/20081119PHOWWW00309.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5442965476102223938" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S4lMQy_JuEI/AAAAAAAAAgU/_1nWkzog4dM/s200/20081119PHOWWW00309.jpg" border="0" /></a><br /><div><div align="left"><span style="font-family:arial;"><span style="font-size:180%;color:#000099;">#</span></span></div><div align="left"><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div align="left"><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/03/5150-rue-des-ormes-2009.html"><strong><span style="color:#000000;">-</span><span style="color:#000000;">5150 rue des Ormes 2009</span></strong></a> </div><div><br /></div><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;"></span><div><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">A</span></div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span> </div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><span style="font-family:Arial;font-size:180%;color:#000099;"></span></div><div><span style="font-family:Arial;color:#000099;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/03/alice-au-pays-des-merveilles-2010.html"><strong><span style="color:#000000;">-</span><span style="color:#000000;">Alice au Pays des Merveilles 2010</span></strong></a></span></div><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">B<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27kquWXpoI/AAAAAAAAAa4/dl4MaYkle-Q/s1600-h/7samurai1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5435533222930261634" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 122px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S27kquWXpoI/AAAAAAAAAa4/dl4MaYkle-Q/s200/7samurai1.jpg" border="0" /></a></span></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/ce-film-manque-dun-scenario-bien-ficele.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Beowulf and Grendel 2005</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"> </span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;"><span style="color:#000099;"><span style="font-size:180%;">C </span></span></span></p><span style="font-family:arial;"><span style="color:#000099;"><span style="font-size:180%;"></span><p align="left"></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/04/clones-2009.html"><strong><span style="color:#000000;">- Clones 2009</span></strong></a></p><p align="left"></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/08/coraline-2009.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Coraline 2009</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"> </span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;"><span style="font-size:180%;"><span style="color:#000099;">D </span><br /></span></p></span><div><br /></div><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/09/dede-travers-les-brumes-2009.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Dédé: à travers les brumes 2009</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"> <a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iJhNztAeI/AAAAAAAAAY4/bwzdphw7y-s/s1600-h/18405123_w434_h_q80.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433744154157711842" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iJhNztAeI/AAAAAAAAAY4/bwzdphw7y-s/s200/18405123_w434_h_q80.jpg" border="0" /></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/demineur-hurt-locker-2008.html"><strong><span style="color:#000000;">- </span><span style="color:#000000;">Démineur( Hurt Locker), 2008</span></strong></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/destination-finale-4.html"><strong><span style="color:#000000;">-</span> <span style="color:#000000;">Destination Finale 4 2009</span></strong></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">E</span></p><div><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/election-2005.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Election 2005</strong></span></a><br /><br /><span style="font-family:arial;"><span style="font-size:180%;"><span style="color:#000099;">F</span> </span></span><br /><br /></div><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/fire-in-sky-1993.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Fire In The Sky 1993</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"><strong> </strong></span></p><div><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/fargo-1996.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Fargo 1996</strong></span></a><span style="font-family:arial;"><span style="color:#000099;"><strong> </strong></span></span></div><div><strong><span style="font-family:Arial;color:#000099;"></span></strong> </div><div><strong><span style="font-family:Arial;color:#000099;"></span></strong></div><div><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/04/freres-2009.html"><span style="color:#000000;">-</span><strong> <span style="color:#000000;">Frères 2009</span></strong></a></span></div><div><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iEyh0OHtI/AAAAAAAAAXY/PC7yPPIRLOU/s1600-h/repulsion1-1024.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433738954028228306" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 196px; CURSOR: hand; HEIGHT: 184px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iEyh0OHtI/AAAAAAAAAXY/PC7yPPIRLOU/s200/repulsion1-1024.jpg" border="0" /></a> </div><div><br /><span style="font-family:arial;"><span style="font-size:180%;color:#000099;">G-H-I</span></span></div><p align="left"><span style="font-family:Arial;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/ichi-2008-critique.html"><strong><span style="color:#000000;">- Ichi 2008</span></strong></a></span></p><div><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/indiana-jones-et-le-royaume-du-crane-de.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal 2008</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong> </strong></span><br /><br /></div><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/into-wild-2007.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Into the Wild 2007</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong> </strong></span></p><div><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/inland-empire-2006.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Inland Empire 2006</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"><br /><br /><span style="font-size:180%;">J-K</span> </span></div><span style="font-family:arial;color:#000099;"><div><br /><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/03/jai-tue-ma-mere-2009.html"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433739795563434514" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 158px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iFjgx2UhI/AAAAAAAAAXw/mIm5g87MB-0/s200/reservoir-dogs1.jpg" border="0" /></a> <span style="color:#000000;"><strong>- </strong></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/03/jai-tue-ma-mere-2009.html"><span style="color:#000000;"><strong>J'ai tué ma mère 2009</strong></span></a></div><div><br /></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/09/jeux-de-pouvoir-2009.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Jeux de Pouvoir 2009</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"><br /><br /><span style="font-size:180%;">L</span><br /><br /></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/les-pieds-dans-le-vide-2009.html"><span style="font-family:arial;color:#000099;"><strong><span style="color:#000000;">-</span><span style="color:#000000;"> Les pieds dans le vide 2009</span></strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong> </strong></span><br /><br /></div><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/left-bank-2007.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Left Bank 2007</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong> </strong></span></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/let-right-one-in-2008.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Let The Right One In 2008</strong></span></a></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/11/le-quatrieme-type-2009.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Le Quatrième Type 2009</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong> <a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iFJmeN-uI/AAAAAAAAAXo/v4F1KXeEk2M/s1600-h/suspiria_00.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433739350415112930" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 179px; CURSOR: hand; HEIGHT: 172px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iFJmeN-uI/AAAAAAAAAXo/v4F1KXeEk2M/s320/suspiria_00.jpg" border="0" /></a></strong></span></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/le-grand-depart.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Le Grand Départ 2008</strong></span></a><span style="font-family:arial;color:#000099;"><strong> </strong><br /><br /><span style="font-size:180%;">M<br /></span><br /></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/08/memories-of-murder-2003.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Memories of Murder 2003</strong></span></a><span style="color:#000099;"><span style="font-family:arial;"><br /><br /><span style="font-size:180%;">N</span> </span></span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/numero-9-2009.html"><strong><span style="color:#000000;">- </span><span style="color:#000000;">Numéro 9 2009</span></strong></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">O<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iF62ya79I/AAAAAAAAAX4/zltpm1L_JhE/s1600-h/pulp-fiction.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433740196608405458" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 149px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iF62ya79I/AAAAAAAAAX4/zltpm1L_JhE/s200/pulp-fiction.jpg" border="0" /></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/old-boy.html"><strong><span style="color:#000000;">- </span><span style="color:#000000;">Old Boy 2003</span></strong></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/oss-117-rio-ne-repond-plus-2009.html"><strong><span style="color:#000000;">- </span><span style="color:#000000;">OSS 117: Rio ne répond plus 2009</span></strong></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">P</span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/pandorum-2009.html"><strong><span style="color:#000000;">-</span><span style="color:#000000;">Pendorum 2009</span></strong></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">Q-R</span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/rec-2007.html"><strong><span style="color:#000000;">-</span> <span style="color:#000000;">Rec 2007</span></strong></a><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iIGk7Z1LI/AAAAAAAAAYQ/vpmZWGgnjE4/s1600-h/KillBill-ORenIshii.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433742596995929266" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iIGk7Z1LI/AAAAAAAAAYQ/vpmZWGgnjE4/s200/KillBill-ORenIshii.jpg" border="0" /></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;"><span style="color:#000000;"><strong>-</strong></span><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/red-eye-2005.html"><span style="color:#000000;"><strong> Red eye 2005</strong></span></a></span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">S</span></p><div><span style="font-family:Arial;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/shutter-island-le-nouveau-scorsese-un.html"><strong><span style="color:#000000;">- Shutter Island 2010</span></strong></a></span> </div><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/sin-nombre-2009.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Sin Nombre 2009</strong></span></a></p><p align="left"><a href="http://http//cinema-critique.blogspot.com/2009/07/slumdog-millionaire-2008.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Slumdog Millionaire 2008</strong></span></a><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iGLy3pHRI/AAAAAAAAAYA/AWNJ82JM32E/s1600-h/le-locataire-1976-1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433740487614340370" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 142px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iGLy3pHRI/AAAAAAAAAYA/AWNJ82JM32E/s200/le-locataire-1976-1.jpg" border="0" /></a></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/wz3kt9brux.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Suspiria 1977</strong></span></a></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">T</span></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/jai-vu-ce-film-la-mille-fois-il-portait.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- Taken 2008</strong></span></a></p><div><strong><span style="color:#000000;">-</span></strong><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/abyss-1989.html"><strong><span style="color:#000000;"> The Abyss </a><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/abyss-1989.html"><span style="color:#000000;">1989</span></a></span></strong> </div><div> </div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div><strong></strong></div><div><strong></strong></div><div><strong></strong></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div></div><div><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/02/box-2009-critique.html"><span style="color:#000000;"><strong>-<span style="font-family:arial;"> the box 2009</span></strong></span></a></div><div></div><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/01/critique-de-children-2008.html"><span style="font-family:arial;color:#000000;"><strong>- The children 2008</strong></span></a><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iIScFUzKI/AAAAAAAAAYY/LbYboBd5plA/s1600-h/ap.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433742800780053666" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 158px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iIScFUzKI/AAAAAAAAAYY/LbYboBd5plA/s200/ap.jpg" border="0" /></a></p><p align="left"><strong>- </strong><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/a4z8qd3vsx.html"><span style="color:#000000;"><strong>There will be blood 2007</strong></span></a></p><p align="left"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2010/03/la-saga-twilight-tentation-2009.html"><strong><span style="color:#000000;">- Twilight: Tentation, 2009</span></strong></a></p><p align="left"></p><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">U-V</span></p><p align="left"><span style="font-family:Arial;color:#000000;"><a href="http://cinema-critique.blogspot.com/2009/07/valkyrie-2008.html"><strong><span style="color:#000000;">-</span><span style="color:#000000;"> Valkyrie 2008</span></strong></a></span></p><div><br /></div><p align="left"><span style="font-family:arial;font-size:180%;color:#000099;">W-X</span></p><p align="left"></p><p align="left"><span style="font-family:arial;color:#000099;"><span style="font-size:180%;">Y-Z</span> </span></p><p align="left"><span style="font-family:arial;color:#000099;"><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iIcZiZSpI/AAAAAAAAAYg/SGdfVlju5S8/s1600-h/into_the_wild.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433742971895368338" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 122px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2iIcZiZSpI/AAAAAAAAAYg/SGdfVlju5S8/s200/into_the_wild.jpg" border="0" /></a></span></p></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-79353475377727428492010-02-02T11:15:00.007-05:002010-02-02T11:36:31.761-05:00Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal 2008, Critique<div><div><div><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hT3OzTwWI/AAAAAAAAAW4/YqXX_mKAGew/s1600-h/PosterIndianaJones410_03_2008.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433685158753714530" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 216px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hT3OzTwWI/AAAAAAAAAW4/YqXX_mKAGew/s320/PosterIndianaJones410_03_2008.jpg" border="0" /></a> Avez-vous remisé vos cerveaux pour l'hiver? C'est parfait, vous êtes prêt pour cette dispendieuse et infâme connerie. Les anciens maîtres du cinéma d'aventure, Georges et Steven, se sont payés nos têtes ou ont décidés de se parodier pour s'amuser. Je sais que c'est du Indiana Jones et que ça sera forcément tiré par les cheveux, mais faut pas pousser la note. On dirait le premier film ''comédie d'aventure'' signés les frères Wayans(film de peur). Des fourmis-piranhas, boostées aux stéroïdes, qui ressemblent à un essaim de vidangeuses nanotechnologiques (ça te bouffent un gros bolchevik en 2 sec) faut pas nous prendre pour des valises! Il y a aussi la descente de chutes en blindés, genre pitoune extrême( descente de rivières sur troncs d'arbres). La balade en lianes, façon tarzan, avec nos petits amis macaques, sans oublié le lancé du frigo atomique et l'inoubliable traversé de la jungle casse-couille. Ah oui! j'oubliais le sympathique petit peuple Aztèque, qui vit dans les vieilles ruines crasseuses, caché dans les blocs de pierres( cachettes secrètes spéciales qui détectent le mouvement) attendant depuis des siècles, qu'un infortuné explorateur passe devant leur pierre creuse, pour éclorent comme des dindes psychotiques et asociales . Mis à part ces légers désagréments, reste quelques clichés grossiers, les méchants russes ont remplacés les méchants nazis. Le gros ratoureux, qui va mourir, parce qu'il veut se remplir les poches d'or au lieu de se sauver à temps ( comme lorsqu'un vaurien suspendu au-dessus d'un gouffre refuse de lâcher son trésor pour prendre la main tendue). Finalement, de joyeuses retrouvailles, vont finir de gâter une sauce déjà indigeste. Harrison à mal vieilli, sa posture rabougrie son petit pantalon ''remonté papy'', ses muscles flasques et sa face molle, trahisse son âge et sa condition physique aussi fragile que du ''cristal cheap''. Comme ce gros crane laid, de chez Wall-mart, qui a déboussolé notre pauvre John Hurt( anciennement bon acteur dans 1984), méconnaissable et insignifiant là dedans. Bon, passons rapidement l'incroyable gâchis de scénario. C'est vrai que quand on dispose d'une mine d'or comme les mayas, Nazca, le mythe du peuple fondateur et la prophétie des cranes de cristal on doit être en panne d'inspiration. Bien, c'est réussi, enfantin et médiocre ce film indigeste s'achève lui même en dépeignant la zone 51, cette caverne d'ali baba, en cave miteuse et mal gardée, pleine de veilles boites. Bof, l'arrivée des E.T enfonce le dernier clou du cercueil de ce vrai fiasco!<br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hUVaRWcgI/AAAAAAAAAXQ/UNhHxJYTdnU/s1600-h/2008_indiana_jones_4_005.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433685677228585474" style="WIDTH: 134px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hUVaRWcgI/AAAAAAAAAXQ/UNhHxJYTdnU/s200/2008_indiana_jones_4_005.jpg" border="0" /></a><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hUQvx61KI/AAAAAAAAAXI/bnBjArnqfEw/s1600-h/indiana-jones-and-the-kingdom-of-the-crystal-skull-image-1-160183847.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433685597102986402" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hUQvx61KI/AAAAAAAAAXI/bnBjArnqfEw/s200/indiana-jones-and-the-kingdom-of-the-crystal-skull-image-1-160183847.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hUKXIldLI/AAAAAAAAAXA/tHcYLeu6nhw/s1600-h/indiana-jones-and-the-kingdom-of-the-crystal-skull-still-shot_450x304.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433685487407953074" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 135px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2hUKXIldLI/AAAAAAAAAXA/tHcYLeu6nhw/s200/indiana-jones-and-the-kingdom-of-the-crystal-skull-still-shot_450x304.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div></div><div>Note de cinéma critique:<span style="font-size:180%;"><span style="color:#cc0000;"> 3</span><span style="color:#cc0000;">/10</span></span> </div></div></div></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-13663000932258473942010-02-01T08:54:00.027-05:002010-02-02T16:49:54.912-05:00Malajube-Labyrinthes<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cVwtaCTbI/AAAAAAAAAWI/t4TMZECqonM/s1600-h/med-olqzvo.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433335402012495282" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 370px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cVwtaCTbI/AAAAAAAAAWI/t4TMZECqonM/s400/med-olqzvo.jpg" border="0" /></a> Malajube nous égare dans son labyrinthe étrange et merveilleux, un univers complexe de sonorités rock-progressives, qui sonne comme rien d'autre au Québec. Julien Mineau et sa troupe nous entraîne, encore une fois, dans des contrées musicales avant-gardistes, qu'il va falloir déchiffrer soi-même, si on veut en comprendre toute la portée. Ce troisième effort de la formation de Sorel est, à mon avis, le plus mature et le plus travaillé. Disque dédié à la mémoire du père de Mathieu Cournoyer, beaucoup plus sombre et touffu que ses prédécesseurs.<br /><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><div><br /></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333242691921298" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 241px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cTzBT5JZI/AAAAAAAAAU4/_9KNxW8QL6Y/s320/malajube.jpg" border="0" /> Évidement, une fois encore, la voix du chanteur et guitariste de Malajube, déconcerte. On aime ou on comprend pas, de toute façon cette voix off, c'est leur marque de commerce et ça fait parti de leur son. Personnellement, j'adore cette façon originale de chanter, de susurrer des textes à l'oreille, comme pour guider l'auditeur à travers les compositions musicales très denses du groupe. Cette voix et les textes gothiques et incantatoires qu'elle murmure pave le chemin du dédale et en décode le fonctionnement.<br /><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333063928007314" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cTonXQSpI/AAAAAAAAAUw/7rV5jLyvovc/s400/untitled.bmp" border="0" /> À la lecture du livret de l'album de Malajube, on tombe sur des paroles et des dessins illustrés par Mineau lui même. Ursuline, nous montre une vierge noire couronné de croix inversées et tenant sous sa robe des âmes déchues. Voilà une entrée en matière assez intrigante et sinistre, avec des textes comme:'' Aucun homme ni aucune religion/ Ne viendront sous ma robe / Pour brûler en enfer''...On comprend rapidement pourquoi les paroles sont savamment incrustées, voir dissimulées dans la chanson. On finit quand même par très bien les entendre après plusieurs écoutes.<br /><br /><div></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433332675966696770" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 206px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cTSCGEfUI/AAAAAAAAAUo/W092cYHLYvQ/s320/350124.jpg" border="0" /> Il ressort de Labyrinthes une thématique très sombre, comme de la magie noire, où il est beaucoup question de sang: sang qui se vide, lèvres qui se sèvrent de sang noir, sang cramoisi. Par contre, la musique n'est pas nécessairement là pour appuyée la noirceur des textes, certaines envolées sont plutôt joyeuses et lumineuses.<br /><br /><div></div><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUBFVob3I/AAAAAAAAAVA/ljychQ3XqB4/s1600-h/malajube_25.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333484291125106" style="WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUBFVob3I/AAAAAAAAAVA/ljychQ3XqB4/s200/malajube_25.jpg" border="0" /></a> <a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUIWNJm5I/AAAAAAAAAVI/cVsZa1fbbFY/s1600-h/malajube_20.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333609078037394" style="WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUIWNJm5I/AAAAAAAAAVI/cVsZa1fbbFY/s200/malajube_20.jpg" border="0" /></a> <a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUQavn3fI/AAAAAAAAAVQ/xuyKGMsOuiw/s1600-h/malajube_14.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333747735322098" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUQavn3fI/AAAAAAAAAVQ/xuyKGMsOuiw/s200/malajube_14.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div>Ursuline, ma pièce préférée, commence doucement, par un doux piano pour entreprendre un rythme plus rapide à la sonorité très années 70 qui rappelle un Meddle de Pink Floyd. Chaque fois que Julien finit son couplet, le tempo change pour laisser place à de furieuses explosions de drum de l'excellent Francis Mineau, frère du chanteur. J'adore ce titre planant, avec des coeurs fantomatiques et des solos de guitare archi-progressifs.<br /><br /><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cU0p0X8YI/AAAAAAAAAWA/VHq8F-RgeHA/s1600-h/fbee52994f6bbdbb0cfdb499e535.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433334370257072514" style="WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 240px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cU0p0X8YI/AAAAAAAAAWA/VHq8F-RgeHA/s320/fbee52994f6bbdbb0cfdb499e535.jpg" border="0" /></a><br />Porté disparu, premier extrait disponible pour les radios. Un excellent titre indie-rock, plus pop et accessible, avec les textes les plus longs de l'album. Il y est question de quelqu'un qui fuit volontairement sa vie. Probablement une personne en phase terminale, qui aimerait bien qu'on la débranche: '' Mes médicaments m'empêchent de voir la magie/ Mes médicaments m'empêchent de finir ma vie''. Un titre très fort sur l'album, au tempo rapide, où Julien chante clairement et les paroles sont, pour une fois, la base de la chanson et non pas la musique.</div><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUroWdVNI/AAAAAAAAAV4/DDVhz-YSDfU/s1600-h/malajube.gif"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433334215244338386" style="WIDTH: 238px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUroWdVNI/AAAAAAAAAV4/DDVhz-YSDfU/s320/malajube.gif" border="0" /></a><br /><div></div><br /><div>Presque joyeux, Porté disparu est le tire qui, avec Luna, est le plus accessible et qui nous rappelle l'album précédent, Trompe l'oeil. Luna, deuxième extrait de Labyrinthes, une joyeuse ritournelle où les '' Pa pa da pa da pa da'' de Mineau, font écho à une musique légère, avec un joli piano, le tout nous fais penser à Dumas. </div><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUmiY1CjI/AAAAAAAAAVw/G9ep5wuXLLc/s1600-h/malajube3.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433334127744322098" style="WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUmiY1CjI/AAAAAAAAAVw/G9ep5wuXLLc/s320/malajube3.jpg" border="0" /></a> </div><div><br /><div></div><div>La suivante, Casablanca, est la plus étrange car elle oblique du tout au tout , sans transition. Le début fait penser à de la musique tropicale, avec une joyeuse ritournelle de la voix haut perchée si caractéristique de Malajube, puis, sans avertir, un clavier gothique mortuaire vient haché net ce délicat refrain. Fessant place à un crescendo de guitare et de drum enragé, presque métal.<br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUhkbKdbI/AAAAAAAAAVo/4lEsHy3q56Y/s1600-h/malajube_7.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433334042391639474" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUhkbKdbI/AAAAAAAAAVo/4lEsHy3q56Y/s200/malajube_7.jpg" border="0" /></a><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUdHPKFvI/AAAAAAAAAVg/mziOuadXpsU/s1600-h/malajube_11.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333965837178610" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUdHPKFvI/AAAAAAAAAVg/mziOuadXpsU/s200/malajube_11.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUYZemtLI/AAAAAAAAAVY/-Dg5IpKUmCk/s1600-h/malajube_12.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433333884834460850" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 150px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cUYZemtLI/AAAAAAAAAVY/-Dg5IpKUmCk/s200/malajube_12.jpg" border="0" /></a><br /><br />333, probablement, à mon goût, la deuxième meilleur de l'album. Un titre très intriguant, une numérologie satanique? 666 divisé en 2 ?ou 333 qui représente la divinité par opposition à 666 qui serait le désir de l'homme de s'y superposer...Les paroles abondent en ce sens:'' On loue nos esprits, on voudrait vivre à l'infini''. Place à la musique, les paroles de Julien sont carrément déconstruites, tissées comme une texture musicale, un instrument à cordes vocales. Le clavier de Thomas Augustin et la basse de Mathieu Cournoyer sont à l'honneur. Appuyé d'un constant pilonnage de batterie avec des roulements impressionnants, véritables salves défoulatoires. 333, énergie délicate et belle poésie:'' Nos lèvres se sèvrent de sang noir''. Faut le faire au Québec, des paroles aussi personnelles et singulières!<br /></div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433336753909870834" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 182px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cW_ZnfMPI/AAAAAAAAAWQ/q607VZnBe24/s320/Poduromorphe-Achorutes.jpg" border="0" /><br /><div>Les collemboles, un titre que j'aime moins.Le synthétiseur me fait penser à la musique des dessins animés de ma jeunesse. Une chanson joyeuse, pleine d'énergie, à la finale épique et disjonctée où ragent les instruments sur un tempo saccadé où perce, une...flûte? Qui sait, pour la postérité, un collembole, c'est un insecte très vieux. Les Collemboles constituent (avec les Acariens) un groupe fondamental de l'écosystème du sol par leur action mécanique de microfragmentation et leur rôle biologique de saprophage( blablabla). Hérésie, plus un intermède musicale qu'une véritable chanson, marque une pose et une transition vers la très jolie balade Dragon de glace. </div><br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433337608372862738" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 240px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cXxIvVvxI/AAAAAAAAAWY/-wWT51tBBHQ/s320/dragon10.jpg" border="0" /> Cette délicieuse balade possède un charme exquis, avec ses paroles enfantines et amoureuses:'' Tu déambules devant moi sur les dunes, tu m'envahi/ Je t'en supplie, ne me laisse pas seul ici/ comme un glaçon dans la pluie''. Jolie musique, chanter vraiment cette fois, par Mineau, avec une voix traînante qui insiste sur la finale de chaques couplets. Des ''haahatatahamha'' très pop. Dragon de glace, possède la riff de guitare électrique la plus mélodieuse et accrocheuse de l'album, qui surgit de nulle part au milieu du titre.<br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433338696697820962" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cYwfEOtyI/AAAAAAAAAWg/9by-EVRSaDU/s320/3957386846_54c10831a7.jpg" border="0" /> Le tout- puissant, une autre balade toute en douceur. Un départ du genre d'Étienne d'août de l'album Trompe-l'oeil, change rapidement pour une intonation plus rapide avec des passes presque funky, qui appuient le chant très lent, comme une litanie. J'aimais mieux le départ de la chanson et ses notes de guitares aériennes, son drum minimal. Bel écrin pour la poésie des paroles:'' Laisse couler ta salive/ Laisse parler ton coeur/ Tous les gens que tu aimes/ Finiront par souffrir/ Si tu cries assez fort/ Que ta gorge explose''. La suite est plus convenue, mais reste à un niveau supérieur.<br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433339300513414354" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 300px; CURSOR: hand; HEIGHT: 300px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cZTodFfNI/AAAAAAAAAWo/PdDF_K_Y77c/s320/330300827_61e8fe06fb.jpg" border="0" /> Cristobald, la dernière, un délire musicale où la voix est réduite à un lointain murmure ou gémissement étouffé, clos, avec brio et énergie cet album mature et atypique. Un ovni dans le milieu de la musique francophone du Québec. On comprend mieux pourquoi Malajube à des fans partout et qu'ils se produisent dans le monde entier. Longue vie à la musique made in Québec et aux gars de Malajubes les maîtres du labyrinthe!<br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5433339848523197554" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 229px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2cZzh8zLHI/AAAAAAAAAWw/BzzWNykD9zg/s320/28221_2.jpg" border="0" /><br /><div></div><div>Note de cinéma critique : <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">9/10</span> </div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div></div> <br /><br /> <object width="560" height="340"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/_uLwvbtZYL8&hl=en_US&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/_uLwvbtZYL8&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object><br /><br /><br /><object height="340" width="560"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/JD6hdj5-u9s&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/JD6hdj5-u9s&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-65149595420657950592010-01-31T14:05:00.013-05:002010-01-31T14:42:43.462-05:00Election 2005<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2XatZFyxPI/AAAAAAAAAUA/dCWRMDfC0dc/s1600-h/election__2005_0854.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432988998856525042" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 236px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2XatZFyxPI/AAAAAAAAAUA/dCWRMDfC0dc/s320/election__2005_0854.jpg" border="0" /></a> Le cinéma asiatique ne cesse de me surprendre, positivement, il n'a rien à envier à l'occident. Cette puissante épopée des triades, signée Johnnie To,<br /><div align="center"><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2XaBfJvgXI/AAAAAAAAAT4/bryW98bl8XA/s1600-h/250px-Johnnie_To.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432988244569457010" style="WIDTH: 227px; CURSOR: hand; HEIGHT: 139px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2XaBfJvgXI/AAAAAAAAAT4/bryW98bl8XA/s200/250px-Johnnie_To.jpg" border="0" /></a></div><br /><div align="center">nous livre une analyse sobre et en huis clos, d'un monde fermé et fascinant. La caméra, introspective, vole d'un protagoniste à un autre, suivant au plus près cette lutte des pouvoirs pour le contrôle absolu de la plus vielle triade de Honk Kong. On assiste ici à un jeu subtil d'alliances, de retournement de chemise et de corruption sans pareil, d'où seul le plus fort et le plus malin sortira vainqueur; et ce en dépit du soutient des anciens de la triade. L'attention du spectateur est sans cesse sollicitée, tant le scénario est bien ficelé. Les personnages, nombreux, ont des noms impossibles et des visages indéchiffrables pour un occidental. Pour ces raisons, les sous-titres du dvd en français sont les bienvenus. Bref, un excellent polar, aux revirements multiples, qui garde en haleine jusqu'à la toute fin, choquante et déstabilisante.</div><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432989312916366418" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2Xa_rDfpFI/AAAAAAAAAUI/nFKL4hO4ngM/s200/G8446939041623.jpg" border="0" /> <div align="center"><br />Note de cinéma critique: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">9/10</span></div><br /><br /><br /><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/vaYpL8Q_gy0&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/vaYpL8Q_gy0&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-3625832842821580882010-01-30T10:17:00.016-05:002010-01-31T02:41:25.155-05:00Les pieds dans le vide 2009<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2RgU0jOeoI/AAAAAAAAATI/EILWHu8qP84/s1600-h/19144245_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114217.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432572961335704194" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 240px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2RgU0jOeoI/AAAAAAAAATI/EILWHu8qP84/s320/19144245_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114217.jpg" border="0" /></a><br /><div><div><div><div>Des fois, avoir trop de cordes à son parachute, c'est comme pas assez à son arc, on s'emmêle vite et c'est la chute libre. Comme dirait Louis-José Houde: ''on dirait 10 saisons de Watatatow d'un coup!'' Le film de Mariloup Wolfe pêche par excès, elle veut peut-être trop en mettre plein la vue. Tout y passe homosexualité, cancer, grossesse, avortement, sexe, jalousie, décès, avortement, adultère, etc...en plus du parachutisme...ouf.. Quand même, pour un premier film, notre petite Mariloup nationale démontre une certaine maîtrise. Le rythme est bon et les images sont réellement spectaculaires, notamment le base-jump de la tour de la Bourse de Montréal, moi qui aime les hauteurs, mon coeur c'est serré de vertige. On pourrait prétexter que le film serre de faire-valoir à son copain Guillaume Lemay-Thivierge, Charles dans le film, comme on le sait probablement tous ici, propriétaire de <a href="http://www.voltige2001.net/">l'école de parachutisme Voltige</a> et qu'il joue son propre rôle en quelque sorte. Les acteurs jouent juste, ce n'est pas leur prestation qui est visée mais plutôt l'inutilité de plusieurs personnages comme Ludo( Adam Kosh), qui se découvre une attirance pour les hommes, chaperonné par Raphaël(Éric Bruneau) qui joue les entremetteurs. Ce qui nous donne de longues scènes osées qui mettent franchement mal à l'aise, dans un film déjà saturé de scènes de baises, on rappelle au passage que le public cible à pas plus de 17 ans. La mère de Manu( Laurence Leboeuf) atteinte d'un cancer, attire le film vers une autre dimension dramatique, bien que très convaincante et bouleversante, grâce au talent de Laurence, cette histoire dans l'histoire n'apporte rien et s'égare dans une direction inutile. Nouveau venu pour moi, la belle gueule d'Éric Bruneau( copain de Leboeuf dans la vie) ne laisse pas indifférent, il est solide dans son rôle de jeune homme hédoniste et troublé qui fuit la réalité dans des sauts sans cesse plus extrêmes. Même si c'est sur joué et parfois un peu trop cliché, surtout dans l'attitude adolescente et rebelle des protagonistes, les personnages de Mariloup sont intéressants et typiques de jeunes en mal de sensations fortes et de vie de bohème. Guillaume Lemay-Thivierge, seule figure plus mature, est le père et le berger de ce troupeau de jeune écervelés, qui sans sa vigilance constante, ce tuerait avec joie et empressement. Malgré ses nombreuses lacunes , Wolfe nous accouche d'un premier film honnête dont les forces certaines sont les admirables prises de vues, des plans géniaux et une photo très léchée. Certainement exportable hors Québec, espéront que la critique étrangère soit aussi douce que celle déjà acquise du public québécois, très protecteur pour ses artistes. On peut faire un parallèle à Point Break, (Extrême limite) qui doit trôner fièrement dans la vidéothèque du couple Thiverge-Wolfe, parions que ce vieux film culte avec Patrick Swayze et Keanu Reeves, fût une source d'inspiration certaine, les ressemblances sont nombreuses.</div><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2RgqLZCZuI/AAAAAAAAATg/lGmtgSrRkys/s1600-h/19144251_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114719.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432573328244238050" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2RgqLZCZuI/AAAAAAAAATg/lGmtgSrRkys/s200/19144251_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114719.jpg" border="0" /></a><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2Rgl1l0KUI/AAAAAAAAATY/cj7_wtDG3r8/s1600-h/19144250_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114602.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432573253672773954" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2Rgl1l0KUI/AAAAAAAAATY/cj7_wtDG3r8/s200/19144250_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114602.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2Rgf9T3ktI/AAAAAAAAATQ/fj2D5lVEy1w/s1600-h/19144246_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114243.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432573152665768658" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2Rgf9T3ktI/AAAAAAAAATQ/fj2D5lVEy1w/s200/19144246_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090723_114243.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div></div><div>Note de cinéma critique: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">6/10 </span></div></div></div></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-84452622198931017392010-01-29T10:59:00.010-05:002010-01-29T11:19:42.786-05:00Into the Wild 2007<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MKBfa01aI/AAAAAAAAATA/HGBfZSQI_W8/s1600-h/18869162_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071205_095135.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432196596269110690" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MKBfa01aI/AAAAAAAAATA/HGBfZSQI_W8/s200/18869162_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071205_095135.jpg" border="0" /></a><br /><div>Wow, toute une aventure, pleine d'émotions et de rencontres inestimables avec des humains connectés avec la vie dans ce qu'elle a de vraie. Le genre de film qui donne envie de tout balancer et de prendre la route vers cette quête spirituelle d'une destinée plus adaptée avec notre vraie nature. Pour certains, cette époque, cette société, sonne vraiment faux, une petite voix à l'intérieur nous dis que l'on passe à côté de quelque chose que l'on agit comme des zombies, esclaves de l'argent et de notre boulimie de consommation. Ce film expose une certaine utopie irréaliste, à savoir que l'homme moderne peut faire communion complète avec la nature sans aide extérieure et sans compagnie. L'être humain est un animal social qui finit tôt ou tard par ressentir le besoin d'une présence amie, constatation tardive pour notre protagoniste qui finit par grandir émotionnellement. Une mention spéciale à Emile Hirsch qui campe vraiment bien le vrai Alexander Supertramp avec une ressemblance physique marquée, une bouille sympathique à retenir. Un beau film qui donne envie de traverser les fabuleux paysages des États-Unis et d'aller à la rencontre de ses habitants.<br /><div><div><div><div><br /><div><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJQyqG3uI/AAAAAAAAASg/3VQkVCeEhwY/s1600-h/18856354_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071114_030453.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432195759619890914" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJQyqG3uI/AAAAAAAAASg/3VQkVCeEhwY/s200/18856354_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071114_030453.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJoJBjcOI/AAAAAAAAAS4/Ef9IsEdQ7e4/s1600-h/18856352_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071114_030441.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432196160760803554" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJoJBjcOI/AAAAAAAAAS4/Ef9IsEdQ7e4/s200/18856352_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071114_030441.jpg" border="0" /></a><br /><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJbPBPTGI/AAAAAAAAASo/lzR_IoipCWI/s1600-h/photo_08_hires.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432195939031796834" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 129px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJbPBPTGI/AAAAAAAAASo/lzR_IoipCWI/s200/photo_08_hires.jpg" border="0" /></a> <a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJjrkDiwI/AAAAAAAAASw/BZoNYcLell4/s1600-h/18856361_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071114_030539.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5432196084132973314" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2MJjrkDiwI/AAAAAAAAASw/BZoNYcLell4/s200/18856361_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20071114_030539.jpg" border="0" /></a><br />Note de cinéma critique: <span style="font-size:180%;"><span style="color:#ff0000;">9</span><span style="color:#ff0000;">/10</span></span> </div></div></div></div></div></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-29662409486507600942010-01-28T11:36:00.007-05:002010-01-28T14:26:43.384-05:00Interpol-Turn on the Bright Lights 2002<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2HZJ4wuR-I/AAAAAAAAAR4/RBPeeQzil08/s1600-h/4113-turn-on-the-bright-lights.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431861389464324066" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2HZJ4wuR-I/AAAAAAAAAR4/RBPeeQzil08/s320/4113-turn-on-the-bright-lights.jpg" border="0" /></a> Interpol, c'est l'Organisation Internationale de Police Criminelle et aussi le nom d'un de mes bands préférés, adulé et chéri d'entre tous. Turn on the Bright Lights, sortie il y a un petit moment déjà, est le neck plus ultra, la mecque bénie des albums d'Indie rock, à mon humble avis. Possiblement le meilleur dans sa catégorie pour 2002, il fut un succès public et critique fulgurant. Interpol est un groupe de rock américain formé en 1998 à New York par Daniel Kessler et Greg Dudy. Kessler l'excellent guitariste, secondé de Paul Banks, <a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2HZRKe6NvI/AAAAAAAAASA/xWFcmn_QhvU/s1600-h/15913931-15913934-large.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431861514480531186" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 232px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2HZRKe6NvI/AAAAAAAAASA/xWFcmn_QhvU/s320/15913931-15913934-large.jpg" border="0" /></a>l'âme du groupe, grâce à sa voix grave et pleine et ses textes poétiques. Souvent désignés comme la tête de file d'un certain revival cold wave, Interpol nie néanmoins toute influence de Joy Division sur sa musique, préférant citer The Cure, The Mars Volta ou Franck Black comme modèles. Personnellement, je ne suis en rien musicien, je trouve que la basse de Carlos Dangler est la principale trame de la musique d'Interpol, comme si la guitare n'est là que pour l'appuyée, je trouve la ligne de basse plus compliquée que celle de la guitare qui est simple et répétitive. À la première écoute d'Interpol je suis resté indifférent. Des amis mon invités à voir un spectacle en plein air le festival Osheaga, édition 2007 à Montréal, où les Smashing Pumpkins, M.I.A, Bloc Party et Interpol était quelques unes des têtes d'affiche. Après un petit spliff, la musique c'est lentement inséminée dans ma tête et mes tripes et n'est jamais plus ressortie. Turn on the Bright Lights, est selon moi, leur album le plus aboutie, l'ensemble est cohérent et se décode lentement. Les paroles obscures et la musique lancinante envahie progressivement les neurones en y créant une dépendance. Cette mélopée n'est en rien joyeuse, certe elle à du rythme mais elle transmet une at<a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2HZ3N-nt1I/AAAAAAAAASI/4JZmX6lf5d4/s1600-h/7418351.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431862168253871954" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 215px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2HZ3N-nt1I/AAAAAAAAASI/4JZmX6lf5d4/s320/7418351.jpg" border="0" /></a>mosphère noire et mélancolique. Les meilleurs titres d'un album presque parfait sont pour ma part: Obstacle 1, celle qui bouge le plus, avec une riffe de basse pas possible, la suite, Obstacle 2, y fait écho à la perfection avec des textes ma foi légers:“I feel like love is in the kitchen with a culinary eye / I think he’s making something special / And I’m smart enough to try / If you don’t trust yourself for at least one minute each day / Well you should trust in this girl, ‘cuz loving is coming our way.” pourtant la musique est lourde et saccadée. Dans Stella Was a Diver and She Was Always Down, on dirait qu'une armée de guitares compose une cacophonie mélodieuse et lancinate, avec ses paroles répétitives comme un hymne : ''she broke away", ''broke away" , "Stella, oh Stella, Stella, I love you," c'est la perfection, avec un son qui rapelle les pixies. Le reste de l'album est génial avec des moments forts comme Leif Erikson, la pièce finale, l'intro et NYC, tout s'imbrique parfaitement si bien qu'on aborde l'ensemble comme une unité. Un album inoubliable qui vous hantera pour longtemps, dont les ritournelles se gravent pour toujours, droit au coeur, comme un tatouage musicale.<br /><span style="font-size:180%;color:#ff0000;">9/10</span><br /><br /><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/7P-hxqFZYRc&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/7P-hxqFZYRc&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object><br /><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/kev4QPmn8us&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/kev4QPmn8us&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-63778242412305460312010-01-27T15:33:00.012-05:002010-01-28T13:07:29.104-05:00Critique de The children 2008<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C6TQW4ZfI/AAAAAAAAARA/J73gH7kn6kQ/s1600-h/19175774_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090928_051943.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431545990580037106" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 240px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C6TQW4ZfI/AAAAAAAAARA/J73gH7kn6kQ/s320/19175774_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090928_051943.jpg" border="0" /></a><br /><div align="left">Cette fois, c'est de Grande-Bretagne que nous provient la nouvelle perle du cinéma d'horreur: The children, un film très aboutit du réalisateur Tom Shankland. Un heureux réveillon en famille, dans une somptueuse demeure de campagne isolée, va devenir peu à peu un cauchemars grotesque quand un mal mystérieux métamorphosera d'adorables enfants en affreuses petites crapules sanguinaires. La force indéniable de ce film repose dans l'admirable utilisation du son, des bruits et de la musique ainsi que dans la maîtrise de la caméra, qui nous offre des plans inusités et inquiétants de choses normales comme un sous-bois ou un parterre de neige, qui deviennent des éléments sournois ou se tapissent des forces obscures en attente d'un signal. Je trouve que ce genre de films d'ambiance, dignes successeurs de The Shinning, installent un sous genre à l'horreur proprement dite, comme les excellents Left Bank, The orphan ou Let the right one in, qui procurent des sensations plus subtiles que la simple peur ou le dégoût. On nage en pleine tension et en territoire interdit dans le film de Shankland, qui nous aurait prévenu il y a quelques années qu'on assisterait à des meurtres perpétués par des enfants ou sur des enfants. Maintenant même ce tabou est tombé et il ne faut pas croire que des enfants, aux allures <a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C58WSCLyI/AAAAAAAAAQw/0u5FQoit8f0/s1600-h/19136880_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090708_094958.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431545597033328418" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 107px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C58WSCLyI/AAAAAAAAAQw/0u5FQoit8f0/s200/19136880_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090708_094958.jpg" border="0" /></a>angéliques, ne constitueront pas une menace plausible pour des adultes bien portants. J'aime bien le coup d'envoi du film, où le malaise plane, on peut sentir que quelque chose trouble la maison et que les petits se comportent étrangement. Le film prend son envol lorsqu'un accident étrange coûte la vie d'un des deux pères de famille. Les scènes gores sont peu nombreuses, partiellement censurées mais toutes très efficaces, on détourne le regard, ça fait mal! Par contre, une fois encore, il faudra se servir de son imagination, car la finale déconcerte et laisse place aux interprétations; avis aux amateurs de films clairs et limpides, ici vous serrez déçu par le manque d'explications, du pourquoi du comment. Les jeunes sont les vedettes et sans leurs performances le reste ne tient pas la route, heureusement ils sont bien dirigés et leur mimiques de possédés hagards, assez convaincantes. Les 4 adultes et l'adolescente Casey<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C5qiToPGI/AAAAAAAAAQo/bQM2kc3Bitk/s1600-h/19117808_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090604_052926.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431545291023596642" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 112px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C5qiToPGI/AAAAAAAAAQo/bQM2kc3Bitk/s200/19117808_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090604_052926.jpg" border="0" /></a> s'en tirent moins bien, en fait Casey(Hannah Tointon) en jeune gothique incomprise est stéréotypée, c'est l'ado classique qui rechigne à venir fêter Noël avec sa famille ou garder les plus jeunes, de plus elle semble avoir le béguin pour son oncle. Celui qui m'a fait décrocher un peu, c'est le beau-père de Casey (Stephen Campbell Moore) qui semble ne ressentir absolument rien quand son ami meure sous ses yeux, que ses enfants se changent en tueurs et que sa femme est en danger, bravo pour l'émotion et le langage corporel à chier! Dans l'ensemble, un honnête petit divertissement pour les amateurs du genre, qui n'ont pas trop froid aux yeux. Personnes sensibles s'abstenir! </div><div align="left"><br /></div><div align="left"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431545765763939330" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 225px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S2C6GK2i_AI/AAAAAAAAAQ4/W6DXXZ5KO1M/s400/19136887_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090708_095000.jpg" border="0" /><br /><div align="justify"></div><div align="justify">Note finale de cinéma critique: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">7/10</span></div></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-37188887028691843682010-01-26T11:36:00.013-05:002010-01-26T13:49:13.021-05:00Sin Nombre 2009<div align="justify"><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1822kfmfEI/AAAAAAAAAQY/viHHLRC5s70/s1600-h/sin_nombre.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431119986769165378" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 216px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1822kfmfEI/AAAAAAAAAQY/viHHLRC5s70/s320/sin_nombre.jpg" border="0" /></a><br /></div><div align="justify"><a href="http://www.sinnombre-lefilm.com/">Sin Nombre</a>, premier long métrage du jeune réalisateur Cary Fukunaga,</div><div align="justify"><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S181-b6rKMI/AAAAAAAAAQA/F4J40_HlKJ0/s1600-h/19044559_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090116_042208.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431119022394124482" style="WIDTH: 144px; CURSOR: hand; HEIGHT: 98px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S181-b6rKMI/AAAAAAAAAQA/F4J40_HlKJ0/s200/19044559_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090116_042208.jpg" border="0" /></a></div><div align="justify">né d'un père japonais et d'une mère suédoise, Fukunaga est un globe trotter qui a vécu en France, au Japon et au Mexique. Gael Garcia Bernal est le directeur exécutif du film et a aidé à le parrainer. En langue espagnole avec sous-titres et sans têtes d'affiches, Sin Nombre c'est quand même vu attribué des prix au festival de Deauville 2009 et Sundance ce qui n'est pas rien. Sin Nombre nous montre une Amérique centrale authentique, violente et cruelle mais aussi sublime de beauté de chaleur humaine et riche d'un tissu familiale qui agit comme un rempart contre la misère humaine. Nous suivons ici les destins tragiques et entrecroisés d'une famille hondurienne, dont la fille, Sayra, vient de renouer avec son père, qui caresse l'espoir utopique de traverser l'Amérique centrale illégalement, en train jusqu'au New Jersey, où d'autres membres de leur famille sont installés. Ils bivouaqueront dans une gare de triage au Mexique où Sayra fera la rencontre de Willy dit Casper un membre en exil de la sanguinaire Mara Salvatrucha</div><div align="justify"><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S182Pdv1wUI/AAAAAAAAAQQ/-dYnVl3-SCM/s1600-h/19169052_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090916_113812.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431119314943328578" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S182Pdv1wUI/AAAAAAAAAQQ/-dYnVl3-SCM/s200/19169052_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090916_113812.jpg" border="0" /></a> qui le recherche pour le tuer. À mi chemin entre le film de gang, dans la même veine que la Cité de Dieu, et le road movie avec ses paysages sensationnels et ses destinées individuelles qui rappelle un peu Carnet de voyage</div><div align="justify">, Sin nombre établit son ton. Parfois avec une agressivité brutale qui désarçonne, dureté graphique des gangs et leurs rites initiatiques qui n'épargnent même pas les prépubères. Au milieu de tout cette pauvreté et souffrance insupportable, il y a l'espoir et l'amour, celui d'une famille pour un destin meilleur, d'un gang pour ses membres, d'un père et d'une fille et d'un mareros au coeur tendre pour une jeune fille égarée.</div><div align="justify"><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S181pxtCVJI/AAAAAAAAAP4/OIGln97Y2OI/s1600-h/sin-nombre_jpg_595x325_crop_upscale_q85.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431118667465249938" style="WIDTH: 187px; CURSOR: hand; HEIGHT: 100px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S181pxtCVJI/AAAAAAAAAP4/OIGln97Y2OI/s200/sin-nombre_jpg_595x325_crop_upscale_q85.jpg" border="0" /></a> Jamais filmé avec mélodramatique, le film de Fukunaga ne jette pas la pierre et ne dénonce rien, il montre avec sincérité ce qu'il à vu lui même lors de son exploration du Mexique sur les pas des réfugiés. Sin Nombre est un film cru et rapide qui prend le pouls au vol de gens aux abois, pourchassés par des destins funestes dont l'issu n'est jamais certaine. Les acteurs sont si authentiques qu'ils semblent participer à un documentaire sur leur propre quotidien, tous excellents, mention spéciale au tout jeune comédien qui interprète un mareros en formation dont l'innocence s'envole comme la virginité d'une jeune fille violée. J'ai adoré ce film qui montre une réalité si dure qu'elle est inimaginable aux bien nantis et qui devrait tous nous intimé un respect pour l'étranger sans papiers qui vient ce réfugier chez nous en provenance de l'enfer.</div><div align="justify"><a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S182JZEbn_I/AAAAAAAAAQI/hbjR_Dv0t2o/s1600-h/19044558_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090116_042208.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5431119210608304114" style="WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S182JZEbn_I/AAAAAAAAAQI/hbjR_Dv0t2o/s200/19044558_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20090116_042208.jpg" border="0" /></a></div><div align="justify">Note de cinéma critique:<span style="font-size:180%;"><span style="color:#ff0000;">8/10</span><span style="color:#ff0000;"> </span></span></div><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/Fvbqwx3e_bQ&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/Fvbqwx3e_bQ&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-25375972024376031422010-01-25T11:12:00.010-05:002010-02-01T15:27:59.061-05:00Taken 2008<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13GYn4iMNI/AAAAAAAAAPI/n_1aLw8KIvY/s1600-h/PosterTaken2.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430714852003950802" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 150px; CURSOR: hand; HEIGHT: 200px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13GYn4iMNI/AAAAAAAAAPI/n_1aLw8KIvY/s200/PosterTaken2.jpg" border="0" /></a> <div>J'ai vu ce film-là mille fois, il portait d'autres titres et avait d'autres acteurs mais au fond c'était le même film: True Lie, Jack Bower, James Bond, Jason Born, au fond c'est juste des prétexte pour tout casser. On change 2-3 trucs, on saupoudre un peu de poursuites de voitures par-ci quelques pauvresses en détresse par là et le tour est joué, passez au guichet:'' y'a d'l'action, c'est bon!'' Ici, c'est ce pauvre Liam Nelson, dont la carrière semble s'écrasée vers des rôles de plus en plus médiocres, qui joue le ''one-man army'', tu sais, le gars qui a l'air de rien, mais provoque le pas pa<a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13G8Ljws3I/AAAAAAAAAPY/rZkfN00krGw/s1600-h/taken1.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430715462875919218" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 164px; CURSOR: hand; HEIGHT: 93px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13G8Ljws3I/AAAAAAAAAPY/rZkfN00krGw/s200/taken1.jpg" border="0" /></a>rce que c'est LE PRO! Tu peux passer la séance aux toilettes, t'a rien manqué: quand ça part, c'est toujours la même affaire. Comme un combat de lutte prévu d'avance. Coup dur déclencheur, suivit de ripostes cinglantes, rechutes temporaires, finale dynamite et happy end hollywood. Pis la pauvre fille à sa maman devrait éviter de s'éloigner de sa maison de luxe et de son cheval d'anniversaire pour aller courir la galipotte en France ( papa l'avait prévenu, à 17 ans ma fille, tu vas pas te balader toute seule en Europe)</div><div></div><div><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13HbNYPAoI/AAAAAAAAAPo/yC8OU69ixuY/s1600-h/taken3.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430715995940389506" style="WIDTH: 164px; CURSOR: hand; HEIGHT: 107px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13HbNYPAoI/AAAAAAAAAPo/yC8OU69ixuY/s200/taken3.jpg" border="0" /></a></div><div></div><div></div><div>Papa avait raison, à peine sortit de l'aéroport elle est kidnappée... On! Manque de bol, une chance que papy-rambo</div><div></div><div><a href="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13HO-eMO4I/AAAAAAAAAPg/19F7RY9Tadc/s1600-h/taken.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430715785780411266" style="WIDTH: 185px; CURSOR: hand; HEIGHT: 122px" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S13HO-eMO4I/AAAAAAAAAPg/19F7RY9Tadc/s200/taken.jpg" border="0" /></a> est là pour tuer tous les méchants, sans se faire blesser une fois ( c'est LE PRO) Il y a une réalité dans la traite des femmes en Europe mais grâce à ce film bâclé, le sujet devient une mascarade prévisible. Note finale de cinéma critique, un maigre: <span style="font-size:180%;color:#ff0000;">5/10</span></div>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-84292432253937607432010-01-24T13:14:00.011-05:002010-01-25T11:04:00.711-05:00OSS 117: Rio ne répond plus 2009<a href="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yP5Lz77bI/AAAAAAAAAOg/5QgAGN6L-IM/s1600-h/oss-117-2.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430373463287918002" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 240px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yP5Lz77bI/AAAAAAAAAOg/5QgAGN6L-IM/s320/oss-117-2.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div><div><div><div><div>Ouais, avec un pareil décor, Rio est magnifique, force est de constater qu'un beau décor et une reconstitution historique très juste, on dirait un James Bond vintage avec Connery, ne suffisent pas à mettre de la chair sur l'os de cette comédie maigrichonne. Jean Dujardin, ce gars est crevant, c'est comme de la poudre à gratter faut juste lui mettre des répliques qui lui font honneur, ses binettes tordues ne font pas tenir le film à elles seules! J'ai quand même ri, c'est parfois navrant mais quelques fois ça fait mouche, dans l'ensemble plus de sourires que de fous rires, pour parodier Bond là franchement c'est impeccable, ce que j'ai moins aimé c'est les nazis plutôt imbéciles et déplacés à Rio. Certaines péripéties sont répétitives et les gags repris parfois trois fois deviennent redondants. Les filles sont jolies et bien vêtues, cette époque était craquante pour les tenues sexy, très Bond girl, jolies robes ou minis jupes et bottes à talons, la grande classe , hélas pour notre héros sa dulcinée devait être dans sa période, car sa moue rébarbative ne la quittera guère du film. C'est peut-être à cause des commentaires franchement sexistes et antisémites rarement aussi cinglants et permissifs dans une comédie, espérons que tous comprendront le second degré. L'accent français quelques fois à couper au couteau, qui habituellement n'affecte en rien ma compréhension, m'a fait rater quelques blagues mais que voulez vous, l'inverse est réciproque! Bon je me rappelle plus le premier, mais je crois que c'était plus efficace, un divertissement léger qui aurait pu être bien mieux. Note de cinéma critique:<span style="font-size:180%;color:#ff0000;">6/10</span></div><div></div></div></div></div></div><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yQEDuO7xI/AAAAAAAAAOo/Vd_MlgAQYBA/s1600-h/890437204.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430373650095075090" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yQEDuO7xI/AAAAAAAAAOo/Vd_MlgAQYBA/s200/890437204.jpg" border="0" /></a><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yQowQG1OI/AAAAAAAAAPA/ZZ7sOJxSTZQ/s1600-h/3782450672.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430374280523601122" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yQowQG1OI/AAAAAAAAAPA/ZZ7sOJxSTZQ/s200/3782450672.jpg" border="0" /></a><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5430373818554115762" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 134px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1yQN3R_5rI/AAAAAAAAAOw/Vxj1mIWYN2U/s200/2638042171.jpg" border="0" /><object height="340" width="560"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/klBLJlrqJVg&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/klBLJlrqJVg&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7507833996477966499.post-86377844988006613402010-01-22T11:38:00.006-05:002010-01-25T11:42:07.139-05:00Beowulf and Grendel 2005<a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nYzfHASTI/AAAAAAAAANs/DfkH_j1hoNI/s1600-h/Beowulf_Grendel.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5429609204807649586" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 249px; CURSOR: hand; HEIGHT: 384px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nYzfHASTI/AAAAAAAAANs/DfkH_j1hoNI/s400/Beowulf_Grendel.jpg" border="0" /></a> <div><div><div><div><div>Ce film manque d'un scénario bien ficelé, de dialogues intéressants et drôles, manque d'envergure et de la magie d'un conte. La bestiole qui est sensée être un troll enragé et cruel, imbattable, n'est qu'un pauvre géant pitoyable. On reconnaît la même gagne d'acteurs qui passent d'un film médiévale à un autre, on dirait qu'ils ne se rasent jamais. Gerard Butler n'a pas de prestance c'est juste un beau gosse sans talent. Les films médiévales d'aujourd'hui manque de fantastique et de magie les réalisateurs des années 70 et 80 concevaient des fables d'époque avec des moyens limités mais une bonne dose d'imagination et de débrouillardise et le résultat était bien meilleur: Légende, Excalibur, Conan le barbare, le dragon du lac de feu, Éric le vicking, l'épée sauvage, highlander, lady hawk, the name of the rose, robin des bois, willow sont tous des films magiques réalisés avec des moyens moindres et beaucoup plus d'intelligence. Je ne donne pas moins que 4 parce que les paysages sont très beaux et le réalisme du film respecté mais la magie du conte scandinave est absente. Note de cinéma critique:<span style="font-size:180%;color:#ff0000;">4/10</span><br /></div><div><span style="font-size:180%;color:#ff0000;"></span></div><br /><br /><div><span style="font-size:180%;color:#ff0000;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nZ2I_8HFI/AAAAAAAAAOM/x0JfvI2Ny2I/s1600-h/beowulfandgrendelpubn.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5429610349923671122" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 185px; CURSOR: hand; HEIGHT: 158px" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nZ2I_8HFI/AAAAAAAAAOM/x0JfvI2Ny2I/s200/beowulfandgrendelpubn.jpg" border="0" /></a><a href="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nZ_xNq8qI/AAAAAAAAAOU/6hAht79KM64/s1600-h/beowulfandgrendelpubh.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5429610515337507490" style="FLOAT: right; MARGIN: 0px 0px 10px 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 193px" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nZ_xNq8qI/AAAAAAAAAOU/6hAht79KM64/s200/beowulfandgrendelpubh.jpg" border="0" /></a><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5429609593289886786" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 200px; CURSOR: hand; HEIGHT: 148px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_z8p4QnoQeyg/S1nZKGUYzEI/AAAAAAAAAN8/Pr0qOPbZigo/s200/beowulfandgrendelpubk.jpg" border="0" /></span></div></div></div></div></div><br /><br /><object height="344" width="425"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/TGlSAtb-SDw&hl=en_US&fs=1&"><param name="allowFullScreen" value="true"><param name="allowscriptaccess" value="always"><embed src="http://www.youtube.com/v/TGlSAtb-SDw&hl=en_US&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>vincenthttp://www.blogger.com/profile/14257140308264542732noreply@blogger.com2